Sarah Cattan. Mila, révélatrice de la pleutrerie et de la soumission à l’islam de notre Président et sa Cour

Qui ne vient pas, à une Matinale ou sur un plateau lambda, délivrer son docte avis sur L’Affaire Mila ? Laquelle est, au moment où j’écris, en train de s’expliquer, en direct, à la télé… “J’ai rien fait de mal”, dit-elle. “J’ai juste été vulgaire”

Tous. Ils viennent tous. Campagne et prostitution électorale obligent pour une Ségolène Royale, infâmie pour une dite Ministre de la justice, inconséquence et lâcheté pour un Odon Vallet, Historien travesti pour l’occasion en valet du pouvoir, ignominie pour un Ibrahim Maalouf qui ose comparer la chose à l’Affaire Matzneff : les défenseurs de la lycéenne sont aussi coupables que ceux de Matzneff, dit-il… Et Nous, nous tairons pudiquement … son histoire, à lui.

Et Silence d’un Président

Silence d’un Président, Absence d’un Président, Inexistence d’un Président, empêtré dans cet impossible En même temps, ces accommodements auxquels il a contraint la France, supposé qu’il est de protéger son peuple mais apparemment englué, à force de complaisances et soumissions, à composer avec la menace islamiste.

Ils ont voulu donner des gages

Ça ressemble, déguisée en tolérance, à une forme de prostitution : Comment pouvait-on espérer être bien avec l’ennemi et escompter que tout cela passerait, ni vu, ni connu.

Comment tenir au calme cette rue arabe dont ils crèvent de peur parce qu’ils n’ont pas eu l’audace de se confronter à une réalité que de surcroît ils nièrent, lorsqu’on la leur montra du doigt[1].

Comment se concilier l’assurance du vote musulman

Et comment perdre l’honneur, en vendant l’âme de son pays : Le Président français l’a fait.

Dans l’Affaire Sarah Halimi, il a dit, contraint et forcé par les circonstances, les mots de trop, ceux qu’un Président ne doit pas prononcer sous peine d’ingérence dans le fonctionnement de la justice. Mais aujourd’hui, Y a-t-il encore Une personne pour ne pas se demander si tous les dysfonctionnements de cette instruction ubuesque ne relèvent pas d’un mot d’ordre, toujours le même : ne point aller énerver les musulmans de France, – qu’il humilie de facto en les pensant tous aussi pleutres-, ne point aller courir le risque de se prendre un attentat de plus.

Idem pour Mila et L’Historien des religions: le valet l’a dit, qu’à force de la défendre, on allait se prendre des attentats.

Si le Président avait eu le courage de dire haut et fort l’inacceptable de l’affaire, d’affaire nous n’aurions pas eue.

Si le Président… Pas un instant je n’ai pensé que le Procureur de Vienne avait agi de sa seule initiative : l’affaire était trop grave déjà, trop avancée : on avait touché … à l’intouchable : une ado, qu’un gars lourdingue avait harcelée parce qu’il n’acceptait pas d’être éconduit, avait dit son fait à l’islam et à son prophète, 5 ans à peine après Charlie. En un langage guère châtié.

Tous aux abris

.

Nous voilà donc à Abbeville en 1765 : Le chevalier de La Barre est accusé d’avoir profané une statue du Christ.

Condamné sans preuves et au mépris de la loi, le jeune homme fut torturé, décapité et brûlé avec, entre les mains, un livre interdit, le Dictionnaire philosophique d’un certain Voltaire…


[1] Les Territoires perdus de la République. Ouvrage collectif sous la direction de Georges Bensoussan. Éditions Mille et une nuits. 2002.

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4 Comments

  1. Vous touchez la verité du doigt , tout est sorti des strategies politiques decidées par l etat eurabien , lourdement allié aux potentats islamistes et au petrole

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