Vidéos : Amir, un jeune artiste qui monte… qui monte..!

Il a un sourire ravageur et sait trouver les mots pour séduire son public. Amir, révélation de l’émission «The Voice» trace son sillon.

Il était sur la scène du Jardin des plantes à Montauban, jeudi soir, à 21 heures, et en bonne compagnie puisqu’il partageait l’affiche avec Slimane, un autre jeune de la génération de «The Voice», et Sinclair, qui fut un temps, membre du jury de l’émission et qui a remplacé Jenifer, la vedette initialement prévue dans le trio.

Jeune auteur, compositeur et interprète de 33 ans, Amir a vu sa carrière exploser depuis son passage à la 3e saison de «The Voice la plus belle voix» en 2013. Depuis le chanteur surfe sur la vague du succès. Il nous raconte sa belle histoire, qui ressemble à un conte de fées.

Comment êtes-vous devenu chanteur ?

Quand j’avais 8 ans, mes parents sont partis en Israël et je les ai suivis au soleil. Je chante depuis toujours. C’est ma passion. Je partage ma vie entre deux pays, la France où je suis né et Israël où j’ai grandi. Je suis un grand privilégié car j’ai la chance d’avoir un pays où je suis anonyme et où je peux retrouver mes repères et un autre où j’évolue dans le domaine public.

Quel souvenir gardez-vous de The Voice ?

The Voice a été pour moi l’opportunité de me faire connaître et puis il y a eu l’Eurovision, et c’est allé très vite. Mon premier single «J’ai cherché» est la chanson qui raconte mon histoire personnelle. L’histoire d’un homme qui a eu un rêve et la chance de le vivre et je la partage avec le monde entier.

Comment vivez-vous ce succès fulgurant ?

Je me réjouis de faire ce métier que j’aime et qui est une vraie passion. C’est formidable d’échanger de l’amour avec les gens.

Vous aimez les défis ?

J’aime les concours, me mesurer aux autres, découvrir autre chose. C’est ce qui me pousse en avant, à aller toujours plus loin. J’aime prendre des risques, sortir de ma zone de confort. Au-delà de la musique, j’aime l’impression de vivre plus intensément. J’ai participé à l’Eurovision et à Ironman. Dès qu’un challenge se présente, j’ai envie de le relever et je suis toujours dans une vision d’avenir. J’essaie de voir toujours plus loin et je me fixe des objectifs. Je suis un hyperactif, en mouvement perpétuel. J’ai hérité ça de mon papa. La nature a fait que j’aie des missions à accomplir : réalisation de mon deuxième album, tournée depuis le mois d’octobre.

Comment se passe cette tournée ?

Au départ, je devais faire 24 dates et on est à 105 dates actuellement. Le show est monté en puissance. Je suis accompagné par cinq musiciens dont trois jouaient avec moi dans The Voice et notre groupe s’est enrichi. On a fait connaissance avec des techniciens qui se sont découverts et il y a une belle entente. On joue 4 fois par semaine et ça crée des liens. Aujourd’hui c’est une deuxième famille et je crois que le public le ressent. Mais on a le cœur qui bat à chaque concert.

Que préférez-vous, les grandes salles ou les plus petites comme Montauban ?

Les petites scènes sont plus intimes et on est plus près des gens. Avec des grandes scènes on a moins de contact, mais c’est impressionnant de voir l’immensité du public. Dans les deux cas, il y a une complicité avec les spectateurs.

 Source ladepeche

 

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