La flottille est soutenue, selon l’organisation, par les organisations féminines du monde entier, notamment ‘La Coalition des femmes pour la paix’ (Israël), des organisations d’Espagne, de Norvège (c’était sur!), du Mexique, des États-Unis et au Canada.
L’organisation FFC a organisé la “Flottille de la Liberté 3“, qui a navigué l’année dernière et qui avait embarqué l’ancien président tunisien Moncef Marzouki. Ce n’est pas la première tentative de briser le blocus naval d’Israël sur Gaza.
La première Flottille, et peut-être la plus célèbre, est celle du Mavi Marmara en 2010. Les navires y prenant part ayant refusé de s’arrêter, les soldats de Tsahal étaient montés à bord, ils avaient alors été agressés par des militants «humanitaires» brandissant des couteaux, des barres de fer et d’autres armes meurtrières.
Les soldats avaient été contraints d’ouvrir le feu pour sauver leur vie, tuant dix de leurs assaillants et suscitant une réaction médiatique internationale. Malgré les objectifs supposés «humanitaires», Israël n’avait trouvé sur les bateaux aucune aide humanitaire.
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