L’économie d’Israël : plus florissante que jamais

Israël est bien évidemment remarquable pour avoir transformer un désert en un pays fleurit et dynamique. Cependant on néglige souvent l’exceptionnel travail fourni consolidant son succès dans la construction d’une économie forte.
La résilience économique est peut-être pas la première chose que les experts associent à Israël. Quand l’investissement dans les bons du trésor d’Israël est un moyen d’être partie prenante et de bénéficier de la puissance économique d’Israël , ce n’est pas un slogan de marketing – c’est un fait.
« La performance économique israélienne au cours de ces dix dernières années, place Israël parmi les meilleurs pays du monde, » déclare l’économiste en chef de Moody Mark Zandi. La crise de la dette grecque démontre le différentiel pour souligner la performance économique exceptionnelle d’Israël. Un point de comparaison important notamment est le rapport que chaque nation a avec l’endettement d’Etat. Israël couvre ses traites, ceci est un indicateur clé de la vigueur de l’économie, qui à son tour contribue à déterminer les notations de crédit et les taux d’intérêts.
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La dette de la Grèce est de 180 pour cent de son PIB. Israël n’est qu’à  67,1% en fin 2014, une dette qui baisse d’année en année depuis cinq ans. Ce score est remarquable, non seulement par rapport à la Grèce, mais aussi par rapport à la moyenne de la zone euro qui est de 107,7%, celle de l’OCDE étant à 94% et la moyenne américaine à 105,6%.
Le Washington Post a récemment rappelé qu‘Israël a toujours été loué pour son sérieux dans la gestion des ses finances, c’est un Etat responsable. Par exemple,au mois de Mai dernier, Fitch, une agence de notation,  a loué les progrès d’Israël dans la réduction de son déficit et « une tendance graduelle à la baisse » du ratio de la dette au PIB. Le même journal financier souligne que «la croissance [qui] est forte et moins volatile que ses homologues malgré les fluctuations du marché liées au conflit occasionnels. »
L’automne dernier, Standard and Poor ont analysé Israël en ces termes: « la force d’Israël est son économie prospère et diversifiée, de plus l’arrivée du statut de producteur de gaz naturel va « booster » la balance extérieure et renforcer son cadre monétaire.  »
La guerre de 50 jours de l’été dernier avec le Hamas a eut un impact minime sur l’économie du pays,  preuve de la discipline budgétaire d’Israël. La croissance au quatrième trimestre a été de 7,2%, soit la plus forte croissance trimestrielle depuis près de huit ans », a rapporté Reuters.
Selon les prévisions de l’OCDE, le PIB d’Israël devrait croître de 3,5% en 2015, comparativement à une moyenne de 1,9% pour les pays membres de l’OCDE et 2.0 .% pour les États-Unis.
Paradoxalement, alors que les réalisations économiques d’Israël sont peu connue par les partisans traditionnels d’Israël, elles sont les cibles essentielles des détracteurs d’Israël – en particulier, les partisans du boycott, désinvestissement et sanctions (BDS). En encourageant le boycott économique, culturel et éducatif d’Israël, les activistes de BDS ont alors imaginé qu’ils pouvaient vaincre Israël en attaquant son économie.
« Au Israel Bonds, nous pensons autrement. Après deux années fantastiques (2013-14) durant lesquelles Israël dépassait 1,1 milliards de dollars de bonds d’investissement en ventes américaines seulement, nous sommes sur la bonne voie pour atteindre en Août plus de 600 millions de dollars d’investissement en 2015. Avant 2011, ce montant équivalait au travail de toute une année. L’investissement massif étranger est une indicateur positif pour encourager notre approche proactive dans le renforcement de l’économie d’Israël, qui, bien sûr, est la réponse la plus efficace au BDS.
Ces ventes représentent un large spectre d’investisseurs, y compris des particuliers, des États et des municipalités, des institutions financières, des fonds de dotation, des universités etc… Du fait de leur diversité, chaque investissement dans l’économie d’Israël aide à l’économie d’Israël et renforce la lutte contre les boycotteurs lesquels reçoivent un retentissant «Non! Il n’est pas question de boycotter Israël ! ».
Dans un monde idéal, les activistes du BDS orienteraient leur obsession là où elle mérite de se situer: contre les tyrans et les despotes qui obligent leurs propres population à vivre dans une pauvreté abjecte et une répression sévère. Mais ce serait trop leurs en demander. Pour conclure, alors que les économies mondiales continuent de s’affaiblir, nous sommes heureux qu’Israël, comme à son habitude à bien des égards, continue de se démarquer. »
Izzy Tapoohi a été président et chef de la direction de la Société de développement Pour Israël / Israël Bonds depuis Octobre 2011.
Or Imbar pour tel-avivre.com
Source: Ynet

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