
Dès le 8 octobre 2023, alors que Tsahal n’avait pas encore tiré un seul obus, le mot “génocide” circulait déjà. Ce n’était pas de l’indignation, c’était un script pré-écrit, une pièce de théâtre sordide dont on attendait seulement le lever de rideau. Les faits ? Inutiles. La mise en scène suffisait.
Pourquoi tant de gens reprennent-ils les mensonges du Hamas ? Parce qu’ils ne cherchent plus la vérité : ils cherchent une cause, un exutoire, un ennemi commode.
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La dictature de l’émotion
Dans un monde gouverné par l’image, le premier qui montre une photo gagne. Peu importe si elle est fausse, mise en scène, sortie de son contexte. Le Hamas l’a compris : un mensonge émotionnel a toujours une longueur d’avance sur une vérité rationnelle.
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Le réflexe pavlovien : David contre Goliath
Israël est perçu comme l’État fort, moderne, armé jusqu’aux dents. Les Palestiniens comme un peuple faible, martyrisé. Dans l’imaginaire collectif, le faible est toujours innocent, même quand il massacre, même quand il ment.
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Une campagne planifiée
Les slogans n’ont pas surgi par hasard : “apartheid”, “colonialisme”, “génocide”. Ils étaient prêts, rodés, enseignés dans les ONG, répétés dans les amphithéâtres, recyclés dans les médias militants. Rien de spontané. Tout était orchestré bien avant le 7 octobre.
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Le Qatar, banquier et metteur en scène
• Banquier du Hamas, mécène des Frères musulmans, le Qatar n’a pas choisi les chars mais les idées.
• Sa stratégie ?
• Séduire par le soft power : Al Jazeera, Coupe du monde, PSG.
• Acheter par l’économie : entreprises, immeubles, associations, ONG.
• Influencer par la propagande : un discours victimaire permanent, l’Occident oppresseur, Israël colonisateur, les musulmans éternels opprimés.
• L’objectif ultime : islamiser les esprits par capillarité, imposer l’islam politique comme horizon moral, rendre ses réseaux incontournables.
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La corruption d’influence
Ne soyons pas naïfs : derrière certaines indignations, il y a des subventions, des contrats, des financements. Le discours pro-Hamas se nourrit aussi d’intérêts bien sonnants et trébuchants.
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L’antisémitisme libéré
Sous couvert d’antisionisme, c’est la vieille haine qui ressurgit. Dire “Israël” permet d’attaquer “les Juifs” sans le dire. Le conflit n’est qu’un alibi pour faire tomber le masque.
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L’idéologie contre les faits
Dans certains milieux — ultra-gauche, islam politique, tiers-mondisme — la “cause palestinienne” n’est plus une opinion : c’est un dogme identitaire. Et face à un dogme, les faits n’ont aucun poids.
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En vérité
Les mensonges du Hamas prospèrent parce qu’ils sont relayés par une stratégie mondiale :
• exploitation des émotions,
• propagande planifiée,
• argent du Qatar,
• relais de l’islam politique,
• corruption d’influence,
• antisémitisme latent.
Ce n’est pas une indignation sincère. C’est une campagne de haine planifiée. Quand Israël est en cause, la raison s’éteint, la passion aveugle et la haine se déchaîne.
© Paul Germon

L’histoire bégaie : Fin mai 1945, Radio le Caire annonçait 45000 victimes de la répression par l’Armée française à cause du soulèvement du 8 mai alors qu’il n’y en avait eu « que » 1500 !
Question posée aux stratèges : comment peut-on exécuter et faire disparaître en 3 semaines toutes ces prétendues victimes ?
Les média sont coupables d’avoir répandu une telle fake news.