
Face à l’infiltration terroriste systémique de l’UNRWA, l’inaction n’est plus une option. Les faits sont clairs, les preuves abondent, et le droit existe.
Reste à avoir le courage de l’appliquer!
FONDEMENT JURIDIQUE
Le Statut de Rome prévoit que les supérieurs hiérarchiques sont pénalement responsables lorsqu’ils ferment les yeux sur des crimes commis sous leur autorité. Pierre Krähenbühl (2014-2019) et Philippe Lazzarini (2020-présent) ne peuvent plus se réfugier derrière l’immunité institutionnelle : leur responsabilité personnelle est engagée pour complicité de crimes de guerre.
LES PREUVES NE LAISSENT AUCUN DOUTE
* Des centres de commandement du Hamas sous des sièges de l’UNRWA
* Des armes stockées dans 85 écoles de l’organisation
* 1 200 employés affiliés au Hamas ou au Jihad islamique
* 9 agents directement impliqués dans le massacre du 7 octobre
* Des rencontres documentées entre Krähenbühl et des dirigeants du Hamas, entretiens répétés de Lazzarini avec des groupes terroristes
Tout cela n’est pas accidentel. C’est une complicité par assistance, tolérance et couverture institutionnelle.
RESPONSABILITÉ SUPÉRIEURE
Les dirigeants savaient. Les découvertes d’armes étaient répétées. Les rapports renseignement s’accumulaient. Les avertissements étaient explicites. Et pourtant, aucune mesure sérieuse n’a été prise. Leur inaction a permis au Hamas de renforcer ses capacités et de commettre des crimes de guerre d’une ampleur inédite.
STRATÉGIE JURIDIQUE
L’Allemagne, avec sa compétence universelle renforcée, offre un forum immédiat. La CPI, déjà saisie de la question palestinienne, constitue un appui essentiel. La Suisse peut fournir un accès aux archives internes de l’ONU. Trois fronts complémentaires pour une action coordonnée.
UN PRÉCÉDENT NÉCESSAIRE
Des affaires comme Van Anraat ou Kouwenhoven ont déjà établi la complicité d’acteurs civils dans des crimes internationaux. Plus jamais un mandat humanitaire ne pourra servir de paravent à l’impunité.
RÉPONDRE AUX OBSTACLES
L’immunité n’est pas un bouclier pour la complicité terroriste. L’ONU peut résister politiquement, mais la vérité ne dépend pas d’un vote d’assemblée. LA JUSTICE DOIT ÊTRE INDÉPENDANTE!
POURQUOI AGIR MAINTENANT
Chaque jour qui passe efface des preuves, fait disparaître des témoins, dilue les responsabilités.
L’URGENCE D’UNE ACTION
Il s’agit de déposer plainte, de préserver les preuves, de protéger les témoins, de mobiliser l’opinion publique et d’exiger des procureurs qu’ils remplissent leur mission.
Ce n’est pas seulement une question juridique. C’est une exigence morale et historique : LA PLACE DE CES CRAPULES EST DERRIÈRE LES BARREAUX.
Le complexe Hamas-UNRWA sera défait militairement sur le terrain.
Bientôt viendra le temps des sanctions, juridiques, contre les monstres d’hypocrisie qui sont les complices d’organisations génocidaires.
Agissons !
© Joel Hanhart


Les faits sont là, indiscutables. En plus des points cités, je me demande toujours, pourquoi les Palestiniens sont le seul groupe de personnes au monde à avoir une agence de l’ONU à elles toutes seules. Les – vrais – réfugiés du Congo, du Soudan, du Mali, du Nigeria, du Burkina Faso, du Venezuela, du Tibet et tant d’autres sont (mal) couverts par le HCR. Pourquoi si ce n’est pour entretenir la haine d’Israël ?
Vous oubliez sans doute le plus important : ce qu’est l’UNRWA !
L’UNRWA a pour but de maintenir dans leur état les réfugiés ‘palestiniens’ de 1948 et leurs descendants dans le but de les réinstaller en Israël ! Pas dans un futur état palestinien, en Israël.
Pourquoi y aurait-il des camps de réfugiés en Cisjordanie et dans la bande de Gaza ? C’est réfugiés sont instrumentalisés depuis 70 ans pour qu’il deviennent une arme génocidaire contre Israël, une arme démographique.
Là est le plus gros scandale de l’UNRWA !