
Mea minima culpa tardif pour le « New-York Times » dans le traitement de l’information. Il était temps. S’agissant de fausses photos d’un enfant hélas mourrant mais pas de famine due à Israël.
Et il y en a d’autres comme cela.
Pour la Xème fois, la « BBC » a aussi et encore présenté des excuses pour parti pris.
Comme c’est donc « difficile » de présenter le Hamas et l’Onu en véritables organisateurs du manque de produits alimentaires à Gaza et le Hamas assassin de Gazaouis qui veulent se nourrir…
Et surtout quand Tsahal convient mieux au narratif de la presse et des politiciens… Le juif ou Israël boucs émissaires, ça marche toujours.
Et convient mieux aux « Free Palestine » et « From the river to the sea » exterminatoires, dans les rues de Bruxelles et sur ses murs. Avec l’accord des maires et partis socialistes ou écolos belges.
Mais, ailleurs en Europe, c’est la même chose. LFI en maître d’œuvres (sic) exemplaire. Comme la gauche britannique ou espagnole.
Cette Palestine du 7 octobre, d’avant et après, que l’on se dépêche de reconnaître, fausse indigène d’une terre juive millénaire. Née dans l’imaginaire opportun de certains, en… 1967.
Mais, au fait, Monsieur Macron, reconnaître qui et quoi, en fait et en droit ? Et vos amis qataris dans tout cela? Concrètement ? Ils semblent aussi fâchés sur le Hamas. Comme les Égyptiens. Vrai. Faux ?
Mais, soit, un espoir pour la première fois depuis des mois : la déclaration hier à l’ONU de l’autorité palestinienne et de près de 20 pays arabes et autres, condamnant enfin le Hamas, demandant sa démilitarisation et son départ !, parlant de reconnaître Israël, de libérer tous les otages…
Mais exigeant du seul Israël un cessez-le-feu pourtant toujours refusé par le seul Hamas !
J’ai relu dix sources différentes et cette déclaration de New-York est vraie !
Vaut mieux rêver parfois. Ça devient pourtant difficile.
À suivre. Évidemment !
© Henri Benkoski

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