
Mon cher Boualem, Je ne sais pas si un jour tu pourras lire ce message. Il y a des pays qui ne t’auraient pas abandonné. Des pays qui seraient venus te chercher « quoi qu’il en coûte ».
Parce qu’il existe des nations où la fraternité n’est pas un mot mais une respiration.
Des pays où la liberté n’est pas un supplément d’âme, mais l’ossature de l’existence.
Des pays qui pensent, qui agissent, même quand la propagande, le populisme et le vacarme veulent tout recouvrir.
Et moi, j’aurais tant aimé que la France dise ces mots simples et immenses : « Au nom de tous les miens ». Pardon.
© Rachel

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