David Castel. Lignes de front

Lignes de front

Balak, ce roi trop poli pour être honnête, est la parfaite incarnation du calcul. Son royaume, construit sur des illusions et des mensonges, semble solide, mais ne tient que par la fragilité de ses promesses. Tout cela brille d’une lumière trompeuse, mais la vérité se cache derrière. Une vérité simple et crue : Balak a peur. Peur que son pouvoir s’effondre, peur de la chute inévitable, la fin du jeu qu’il a cru maîtriser. Il déplace ses pions sur l’échiquier, sans voir qu’il est lui-même en train de se perdre dans ses propres manipulations.

Il pense pouvoir contrôler la parole, et pour cela, il convoque Bilaam, ce prophète qu’il croit à vendre comme une arme. « Peu importe maudire ou bénir », se dit-il, « tant que ça fait du bruit, tant que ça frappe. » Mais il se trompe. Ce qu’il ignore, c’est que la parole, une fois libérée, échappe toujours à celui qui veut l’asservir. Ce qui devait détruire finit par libérer. Et la malédiction, qu’il a cru contrôler, devient ce qu’il n’a pas anticipé : une bénédiction. La première leçon : on ne peut pas dominer la vérité.

Aujourd’hui, le Hamas représente cette même dérive de l’âme humaine. Une idéologie tissée dans le mensonge, où les innocents, les enfants, sont réduits à de simples pions sacrifiés dans une guerre qu’ils ne comprennent même pas. Des vies prises et utilisées pour justifier la violence, l’injustifiable. Les négociations sont suspendues dans un silence lourd, un cri sourd étouffé par un monde qui refuse de voir l’horreur. Car ces gens ne veulent pas la paix. Ils ne cherchent que l’agonie, l’espoir d’éteindre la vie.

Mais Israël, lui, refuse de sombrer dans ce piège. Israël n’est pas dupe. Il ne se fait pas d’illusions. Il ne se contente pas de subir. Il choisit de résister. Résister à la noirceur qui veut l’étouffer. Chaque otage libéré, chaque vie sauvée est une victoire sur la nuit qui veut tout engloutir. Israël ne veut pas la guerre, mais il la mène pour la lumière. Cette lumière, qui, malgré tout, refuse de s’éteindre. Car ce combat n’est pas qu’une guerre géopolitique. C’est une guerre pour la vérité. C’est une guerre pour l’existence, pour la dignité, pour la vie. Chaque geste, chaque parole d’Israël devient un cri : « Nous vivons. Et nous vivrons. » Un défi, un refus de se soumettre à ceux qui croient pouvoir éteindre la lumière en écrasant des vies. Mais cette lumière, même dans l’obscurité la plus totale, éclaire ce qui semblait perdu. Elle résiste à l’ombre, brise le silence, fait surgir la vérité de ce qui semblait avoir été effacé.

Le Hamas, de son côté, se fourvoie dans sa propre violence. Il pense que la terreur est un pouvoir, mais il se trompe. La terreur peut briser des corps, mais elle ne brise pas les esprits. Les idéologues du mal, aveuglés par leur haine, croient que la peur peut écraser le monde. Mais l’histoire leur a prouvé que la haine ne fait que détruire celui qui la porte. Ils se perdent dans leur propre folie. Et chaque jour qui passe les éloigne de la victoire qu’ils croient à portée de main. Leur violence n’est rien d’autre qu’un souffle faible, voué à l’échec face à la force de la vérité qui perdure.

Israël, dans cette guerre, nous enseigne une vérité fondamentale : la force réelle ne réside pas dans la haine ni la vengeance, mais dans le souvenir de ce qu’on a perdu et l’amour de ce qu’on veut préserver. Israël, dans ce combat spirituel, a déjà gagné. Il ne demande pas la reconnaissance du monde, il exige son droit à exister. Et dans ce combat, Israël porte une lumière qui éclaire non seulement son propre chemin, mais celui de tous ceux qui croient en la vérité, la justice et la paix. Ce ne sont pas des idéaux, mais des réalités prêtes à éclater dans ce monde dévasté.

© David Castel

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1 Comment

  1. Allez, on va pas mégoter. Pour les muzz un Otage vaut mille saloperies? Avec la même règle, pour 1250 assassinats le 7 octobre, 1 250000 gazanon ferait un compte juste. ISRAËL est encore loin du compte. Aucune empathie pour la racaille quelque soit l’âge et le genre.

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