Une minute de silence à l’assemblée nationale seulement pour Aboubakar et Nahel et pas pour les victimes du terrorisme islamiste?
La victimisation devient le plus grand des bluff, un moyen de conquérir le pouvoir. Et derrière ce rideau de souffrances instrumentalisées, on voit bien les véritables intentions: remplacer une élite par une autre, un peuple par un autre. La France Insoumise, avec ses discours sur l’islamophobie, ses attaques contre les oppressions systématiques, se nourrit de cette logique. Ce qu’on appelle « la lutte des classes » n’est plus une lutte de valeurs ou d’idées, mais une guerre pour le contrôle des masses, une guerre où les victimes sont fabriquées et où la colère est dirigée.
Ce mouvement, cette vague de victimisation, ne s’arrête pas aux frontières. Elle traverse les océans, elle se répand comme un poison, de Black Lives Matter au wokisme, au prétendu génocide des palestiniens de Gaza et chaque cri, chaque accusation, devient une arme dans un jeu qui dépasse largement les frontières nationales. Ce n’est plus une question de justice. C’est une question de pouvoir. Ce qui aurait dû être une lutte pour l’égalité, pour la fin de l’oppression, se transforme en une conquête, en une domination fondée sur des récits falsifiés et des souffrances surdimensionnées. L’ordre ancien doit être renversé, mais pas pour libérer, seulement pour imposer un nouveau tyran sous couvert de liberté.
Et nos gouvernants, dans leur aveuglement, se laissent mener par ce flot de revendications manipulées, poussés par la peur d’un embrasement social. Ils cèdent à la logique de la victimisation, craignant qu’une révolte violente, un chaos des banlieues, ne vienne les emporter, les chasser du pouvoir dans un tourbillon de violence et de guerre civile.
Ainsi, ils entretiennent le système. Ils nourrissent cette machine qui leur permet de maintenir leur domination en divisant, en stigmatisant, et en contrôlant les récits.
La vérité ? La vérité a disparu. La justice ? Elle est écrasée sous le poids des récits fabriqués.
© Charles Rojzman
Petain / macron a encore frappé . La gourde braun pivet , le mollasson bayrou et tous les leche botte de la macronie me rappellent étrangement une certaine et peu glorieuse administration vichyssoise .
Pendant ce temps Doriot/ melenchon eructe sa haine antijuive et on entend retentir le » horst vessel lied » en arabe algerien ……..
Juifs de France : ouvrez le deuxieme oeil et prenez des decisions , vite !