J’ADORE LES ANALYSES ET LES MOTS DE TRUMP
Quand il décrit simplement et sans animosité, une réalité qui nous traverse d’angoisse et de craintes, des dérives et suppressions des libertés individuelles, à la répression exponentielle de la parole, dans une France que l’extrême gauche nazifiante et la gauche dans son ensemble utilise à des fins de pouvoir.
« Paris n’est plus Paris et le Maire de Londres est vicieux et mauvais », dit calmement Trump, épais et solide de ses convictions américaines qui ne s’encombrent pas de mots vains.
Et il a raison et personnellement j’apprécie que les choses dites recouvrent la réalité dans sa cruauté comme dans sa beauté. Comme Camus je crois que « mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde »
Il manque de courtoisie ai-je entendu, c’est inélégant, du Trump pour tout dire…
Ce que certains, même sur CNews, persistent à dire de lui en préambule de leurs propos, comme pour s’excuser de reconnaître la valeur de ses paroles : il a mal parlé, c’est vulgaire, avant de dire, mais il a raison.
Et je me demande, comment et pourquoi osent-ils tous critiquer le bon sens et des remarques, que nous avons tous en tête avec des mots souvent pires, qui décrivent cette réalité que nous vivons avec détresse et impuissance ?
Par peur de n’être plus dans le mouvement d’une masse qui comme les moutons, bouge d’un même pas, au plus petit jappement du chien qui les garde ?
Peut-être sont-ils déjà gangrénés, érodés par ces répressions que pourtant ils réprouvent, je pense à ceux qui commentèrent ce matin les propos de Trump en commençant par attaquer la forme, avant d’approuver le propos.
La vulgarité est bien autre chose que des allusions discourtoises ou même des « gros mots ».
Elle se camoufle derrière la courtoisie et des mots diplomatiques qui laissent les nôtres moisir dans des prisons algériennes ou ailleurs ; qui invite des djihadistes à l’Élysée et négocie la vie et la mort d’otages pendant deux ans, mais élégamment au Qatar, en mangeant des petits fours dans un palace.
Et l’absolue vulgarité, c’est celle de certains dirigeants Européens qui entre whisky et coke, discutent et prolongent des guerres infâmes qui font des millions de morts et d’handicapés à vie.
Alors oui la courtoisie est un consensus social pour permettre le civisme dans une société de droit, mais lorsqu’elle ne sert plus qu’à effacer et gommer, amoindrir une réalité brutale, qu’un Président Américain par des mots simples et vrais, révèle, la vulgarité est du côté de ceux qui se refusent à la voir, qui lui dénie cette honnêteté qui manque cruellement à la France aujourd’hui.
Je préfère et de loin le franc-parler d’un homme qui a largement prouvé qu’il était un grand stratège autant qu’un grand président.
Et s’il utilise un langage abrupt, marqueur des fortes personnalités qui vont à l’essentiel sans besoin du regard des autres pour prendre une décision, c’est loin de m’offusquer, au contraire.
Depuis quand la société des bienpensants a-t-elle pris le pas sur notre humanité au point de ne plus nous autoriser à utiliser ou entendre des mots vrais et justes, pour privilégier des mots inertes et aseptisés ?
Mourrez mais en silence, et surtout courtoisement !
Entendre une voix dissonante dans l’hypocrisie d’un monde qui a peur de tout, même d’être plus heureux, ça me fait du bien.
Et j’aime cette façon qu’il a de dire ce qu’il analyse ou ressent, toujours un peu entre John Wayne et Peter Pan, mais dans le sillage d’une Amérique construite entre douleurs et armes, qui fut capable à partir de 13 petites colonies de migrants, de bâtir la plus grande puissance du monde.
© Louise Gaggini

Ecrivain, journaliste, mais aussi sculpteur et peintre, pianiste, bref une « artiste plurielle ». Diplômée de lettres, d’Histoire de l’Art et de Conservatoire de musique. Auteur de nombreux dossiers pour la presse et la télévision, dont certains ont été traduits par l’Unesco, des organismes humanitaires et des institutions étrangères à des fins d’éducation et de prévention et d’autres furent diffusés par l’EN, Louise Gaggini est l’auteure d’essais et de romans dont La résultante ou Claire d’Algérie et d’un livre d’art pour l’UNICEF: Les enfants sont la mémoire des hommes. Elle est aussi l’auteure d’essais de société, et expose régulièrement, récemment à New York.
elle a publié son premier roman pour littérature jeunesse en 2001, et son premier roman pour adultes en 2004.
Où la trouver :

Il faut dire les choses si on veut qu’elles évoluent et Trump l’a fait, tout simplement.
Trump est un peu vulgaire , d autres plus pres de nous sont simplement indignes et font honte a tous .
Merci Donald pour tout .