Elles disent que les féministes ne peuvent pas être partout. Mais entre être de partout et être nulle part Il semble définitivement que ce sont elles qui désignent celles qui à leurs yeux sont les bonnes victimes. Elles? Elles préfèrent là où il y a de la lumière. Et c’est pourquoi une Claire Geronimi, une Lola, une Louise, une Philippine ou une Mila n’ont pas eu leurs faveurs. Les Israéliennes massacrées après avoir été violées? Non plus. Ni le Collectif « Nous vivrons ».
Papillons de nuit, elles en ont à l’encontre d’un Depardieu ou d’un Polanski. Sauf lorsque, faute de mieux, elles viennent faire son compte à un obscur Ari Abitan.
Vous avez osé, vous, homme, en interpeller une sur un réseau social en l’appelant « Bichette » ? Elles vous accusent, au lieu que de poursuivre leur route, d’avoir agi « sans leur consentement », de les avoir « obligées à avoir une proximité avec elles » alors qu’elles vous ont demandé « d’arrêter ».
Quoi? Le même, -lourdaud s’il en est-, a continué à les vanner, écrivant à l’une qu’il « l’embrassait sur le front » et « continuant à le faire alors même qu’elle lui a dit « Stop »: Elles disent que « c’est ainsi que commence la culture du viol ».
Elles sont donc là, quelques-unes, à proclamer depuis « l’affaire Brigitte Macron » -accusée d’avoir trahi la lutte contre les violences faites aux femmes »- qu’elles sont « fières d’être des sales connes »: nous savions qu’elles en étaient. Il n’y a qu’elles qui ne le savaient pas encore.
Elles sont bien des sales connes. Qui se sont tues au lieu que de soutenir les femmes Iraniennes tuées pour avoir refusé de porter le voile, les femmes afghanes emmurées vivantes, qui ont nié les viols commis par le Hamas sur les femmes israéliennes le 7 octobre. Qui se taisent quasi systématiquement lorsque le violeur est issu des banlieues.
Que L’Obs nous épargne une autre pleine page sur « ce que le féminisme a apporté aux femmes » et que les sales connes ne viennent pas nous dire que nous soutenons les tripoteurs du métro, les collègues lourdingues et autres harceleurs des réseaux sociaux.
Sarah Cattan
Bravo Sarah Cattan ! C’est bien envoyé ! Ary Abitan n’est pas un violeur et c’est un Tribunal qui l’a déclaré ! Mais 3 mégères en mal de pub ont decidé que leur opinion est supérieure à la sentence des juges ! Elles sont grotesques !
Entièrement d’accord avec vous ! J’irais même plus loin, pour moi, dans l’affaire d’Ary Abitan il y a de la part de ces pseudo-féministes une bonne dose d’antisémitisme. Et, une fois n’est pas coutume , je suis d’accord avec Brigitte Macron.
Ces personnes défendent en effet un féminisme deux poids deux mesures. En fait, tout dépend pour elles qui est l’agresseur et qui est l’agressée. Le fait d’être un homme blanc et surtout un Juif dans le premier cas est pour elles une circonstance aggravante et d’être Juive dans le second une raison de ne pas être défendue par elles. Le fait d’avoir été innocenté par la justice ne compte pas pour elles. Une accusation de leur part suffit en tout et pour tout.
Plus généralement, elles se sont plutôt donné comme rôle de démolir l’homme blanc que de défendre les femmes.
Elles sont clairement des imposteurs.
Ces tristes femmes ne sont que des grandes bourgeoises repues et hypocrites leur seul objectif est de garder leurs privileges et elles agissent en consequence , alors que la mode actuelle est aux » droits de l homme » .
En d autres temps , boboland n existait pas encore , leurs grand meres couraient tourner des films a Berlin ou frequentaient les beaux officiers nazis dans les palaces parisiens .
En 1942 , chez les nazis , une mutation en France etait une recompense fort prisée , la belle vie loin du fracas de la guerre , j imagine facilement que les qataris et autres sbires du hamas ou de l olp ressentent le meme plaisir tranquille a frequenter les macron, le drian ,barrot, melenchon , faure et autres ………