Noa Tishby prise a partie lors d’une manifestation Pro Hamas : un tableau glaciale de la cité parisienne, devenue la capitale de l’Islamo-gauchisme. En visite à Paris, l’actrice et productrice Noa Tishby, ex-envoyée spéciale d’Israël contre l’antisémitisme aux Etats-unis a été violemment prise à partie lors d’une manifestation pro-palestinienne où les slogans génocidaires, les symboles et les interviews filmées révèlent une radicalisation antisémite assumée.
Dès les premières secondes, l’hostilité est explicite : « Merde à Israël », « Résistance », « Le Hamas n’est pas terroriste ». Des manifestants la suivent, l’insultent, la bousculent. « On vient d’être attaqués… Ils nous poursuivent… Il n’y a aucun flic ici. » Son micro-trottoir montre un niveau d’ignorance sidérant :
Certains affirment que le Hamas « doit rester au pouvoir » et « n’est pas violent ».
D’autres nient les exécutions internes commises par l’organisation.
Tous rejettent les faits du 7 octobre.
Aucun ne connaît le parcours de Marwan Barghouti, qu’ils considèrent « non violent »… alors qu’il a été condamné pour cinq meurtres et participation à des attentats-suicides.
La scène culmine lorsqu’un manifestant lui crie : « Israël ne devrait pas exister », ou lorsque des groupes tentent de la chasser : « Dégagez ! Bougez ! ».
Tishby filme une réalité dérangeante : une manifestation parisienne où la propagande pro-Hamas se mêle à la désinformation virale, où les appels à la « résistance » effacent les massacres, et où l’hostilité contre le peuple juif devient un marqueur identitaire. Ironie sinistre : la marche passait devant le Bataclan — lieu du massacre islamiste de 2015. Elle conclut : « Ce que vous voyez n’est pas un danger seulement pour les Juifs ou Israël, mais pour les valeurs occidentales. » Une image de la France que certains responsables politiques saluent… et que beaucoup, dans le monde, observent avec stupeur.

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