De son premier lapsus : « Je parle tous les jours avec le président de la Russie pour éviter la paix »,
À celui qui suivit : « Nous n’avons aucune leçon de corruption à donner à l’Ukraine »
Ou à sa volonté d’instaurer un « label des médias » en réalité un encadrement de la pensée et la fin de toute opposition,
son inconscient ne cesse de nous révéler ce qu’il est et veut réellement.
La guerre Ukraine/Russie il l’a voulue, propulsée et maintenue en Europe.
À chaque fois que Trump et Poutine parviennent à seulement ébaucher la perspective d’une paix, le trublion de l’Élysée invite Zelensky et lui fait des mamours pour la désamorcer.
Quant à la corruption Ukrainienne, l’inconscient de Macron a rétabli une réalité : « la France n’a aucune leçon de corruption à donner à l’Ukraine »
La corruption existait en Ukraine avant la guerre. Argent criminel, vols d’enfants et d’organes, prostitutions en tout genre, drogues et blanchiment d’argent, le pire de l’humanité y sévissait.
On a fait de Zelensky un héros, mais Andriy Yermak, son chef de cabinet, l’homme le plus puissant après lui, est soupçonné d’avoir détourné plus de 100 millions de dollars avec un autre proche de Zelensky, Timour Minditch, accusé par les enquêteurs ukrainiens d’avoir orchestré un vaste système de corruption.
M. Minditch est par ailleurs, copropriétaire de la société de production audiovisuelle Kvartal 95, fondée par Zelensky, et qui d’après un procureur du Parquet spécialisé anticorruption (SAPO) « exerçait un contrôle sur l’accumulation, la distribution et la légalisation de fonds d’origine criminelle dans le secteur énergétique ukrainien.
Tout ça pour dire qu’à force de « en même temps » en 8 années de manipulations, de falsifications et mystifications politiques, Macron a grillé son subconscient qui, comme un vieux robot désactivé, ne sait plus quoi dire ou cacher, révélant ses réalités enfouies comme « la Vérité sortant du puits ».
Sa dernière « révélation » étant sa demande de « label pour les médias » pour, dit-il, séparer la mauvaise information de la bonne.
Mais comment, dans un pays démocratique, a-t-il pu émettre une telle idée ? Là où sont nés les droits de l’homme ?
L’inconscient évidemment, son inconscient qui nous dit qu’il veut tout contrôler. Et plus particulièrement, au travers de médias « labellisés », la population.
Exactement comme fit Staline.
La quête de reconnaissance absolue de Macron l’amène à toutes les dérives et autoritarismes totalitaires.
La façon dont Staline a fait main basse sur les pays qu’il avait libérés du nazisme est un modèle du genre, et on voit bien comme Macron s’en inspire en insufflant la peur, toutes sortes de peurs, physiques et mentales.
Hélas pour lui, même en temps de peur, certains font de la résistance, s’opposent à ses diktats iniques, à ses guerres inutiles, à sa dispendieuse façon de vivre grâce à la République, à ses imprudences et impudences politiques, en France, au Moyen-Orient, à l’Est ou ailleurs.
Les empêcher de lui résister et les invisibiliser, faute de les asservir, est l’objectif de ce label pour médias.
Comme disait René Char : l’essentiel est toujours menacé par l’insignifiant.
© Louise Gaggini

Ecrivain, journaliste, mais aussi sculpteur et peintre, pianiste, bref une « artiste plurielle ». Diplômée de lettres, d’Histoire de l’Art et de Conservatoire de musique. Auteur de nombreux dossiers pour la presse et la télévision, dont certains ont été traduits par l’Unesco, des organismes humanitaires et des institutions étrangères à des fins d’éducation et de prévention et d’autres furent diffusés par l’EN, Louise Gaggini est l’auteure d’essais et de romans dont La résultante ou Claire d’Algérie et d’un livre d’art pour l’UNICEF: Les enfants sont la mémoire des hommes. Elle est aussi l’auteure d’essais de société, et expose régulièrement, récemment à New York.
elle a publié son premier roman pour littérature jeunesse en 2001, et son premier roman pour adultes en 2004.
Où la trouver :

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