Le peuple d’Israël est vivant, il existe, il se bat. Par Jean Vercors

Gaza : quand les gratte-ciels deviennent des bunkers du Hamas

L’armée israélienne a commencé à détruire des immeubles de grande hauteur dans la ville de Gaza parce que le Hamas les utilise.

C’est réconfortant.

Le peuple d’Israël est vivant, il existe, il se bat .

L’armée israélienne a lancé une nouvelle phase de son opération : la destruction d’immeubles de grande hauteur dans la bande de Gaza. Derrière les images spectaculaires des tours qui s’effondrent, une réalité brutale se cache : ces bâtiments ne sont pas de simples habitations, mais des forteresses réquisitionnées par le Hamas.

Chaque étage raconte la même histoire : appartements transformés en dépôts d’armes, cages d’escalier utilisées comme couloirs logistiques, toits convertis en plateformes de lancement de roquettes. Sous les fondations, les tunnels du Hamas serpentent comme un labyrinthe. Pour les habitants, ces immeubles n’étaient plus des lieux de vie, mais des prisons piégées par leur propre régime.

Israël est précis : chaque frappe est ciblée. Pas de spectacle gratuit, pas d’attaques « au hasard », mais la réponse à une stratégie cynique qui consiste à transformer les civils en boucliers humains. Le Hamas, lui, s’empresse d’accuser Israël de crimes, tout en effaçant sa propre responsabilité : avoir militarisé les foyers, piégé les quartiers et installé la guerre au cœur des immeubles.

La chute de ces tours illustre un constat glaçant : à Gaza, l’architecture est détournée pour la terreur. Là où devraient s’élever des lieux de vie, se dressaient des bunkers verticaux. Là où devraient résonner des rires d’enfants, retentissaient les départs de roquettes.

En détruisant ces structures, Israël ne vise pas des murs, mais une machine de guerre. Chaque immeuble qui tombe est une cachette terroriste qui disparaît. Chaque façade qui s’écroule révèle une vérité : le Hamas n’a pas seulement pris en otage des individus, il a pris en otage toute une ville.

La guerre à Gaza n’est pas une bataille de pierres contre pierres. C’est une bataille pour la vérité, étage après étage, tunnel après tunnel. Et si les tours s’écroulent aujourd’hui, c’est parce que le Hamas a choisi de bâtir son pouvoir sur le mensonge et la mort que de nombreux medias preferent ignorer

Des tours immenses qui s’effondrent dans la poussière et le fracas. Pour certains, c’est la preuve d’une « brutalité aveugle » de l’armée israélienne. Mais derrière le spectacle médiatique, il y a une vérité que trop de journalistes et de chancelleries refusent de voir : ces immeubles ne sont pas des symboles de vie civile, mais des instruments de guerre du Hamas.

On le connaît Macron : toujours prompt à dégainer sa flûte diplomatique pour jouer la même vieille rengaine. Pas besoin d’attendre longtemps : après chaque opération israélienne contre les planques du Hamas, il faut s’attendre à son communiqué indigné, servi chaud comme une baguette molle de l’Élysée : « Israël doit faire preuve de retenue. » Traduction : « Les Juifs, arrêtez de détruire les bunkers nazis du Hamas, ça fait désordre sur BFM. »

Et comme d’habitude, la presse publique française, cette grande pleureuse subventionnée par l’etat, embraie la marche funèbre. France Info, France 2, TV5 Monde : tous au diapason pour la grande liturgie de la victimisation palestinienne. Gros titres obligatoires : « Israël détruit des immeubles résidentiels », sans jamais préciser que « résidentiel » rime ici avec « QG du Hamas et stock de RPG ».

En attendant, Macron joue son rôle : le grand donneur de leçons, celui qui n’a jamais réussi à pacifier un rond-point en France mais qui croit pouvoir donner des conseils au Moyen-Orient. Le tout en se pâmant devant Abbas, ce terroiste qui confond démocratie et chaise collée au pouvoir.

Bref, Macron condamne, les médias pleurnichent, et les barbus nazis crient à l’injustice.

Bienvenue au cirque de la victimisation palestinienne, avec France Télévisions en chef d’orchestre.

À nos soldats, héros d’Israël, Soyez Bénis

Vous êtes le bouclier qui protège nos foyers.

Vous portez le poids de nos nuits pour que nous puissions dormir.

Votre courage illumine nos jours les plus sombres.

Chaque pas que vous faites est un pas pour la vie et la liberté.

Vos sacrifices sont gravés dans le cœur de notre peuple.

Nous prions pour votre force et votre retour en paix.

Vous êtes la fierté d’Israël et l’espoir de demain.

Merci pour votre bravoure, votre dévouement, votre amour de la terre.

Am Israel ‘Haï – grâce à vous.

© Jean Vercors