
Le dernier Conseil des ministres avant la pause estivale, tenu le 30 juillet, et dont le contenu a été rapporté par l’Opinion, a été marqué par un échange intense entre Emmanuel Macron et Manuel Valls autour de la reconnaissance prochaine par la France d’un État palestinien. Une décision annoncée par le chef de l’État le 24 juillet, et qui continue de diviser jusque dans les plus hautes sphères de l’exécutif.
Manuel Valls, ministre des Outre-mer, a exprimé ses réserves en toute fin de réunion. Tout en réaffirmant son soutien à la solution à deux États, il s’est interrogé sur le « timing » de cette reconnaissance, craignant qu’elle soit perçue comme une récompense au Hamas, responsable de l’attaque du 7 octobre 2023 contre Israël. Il a également pointé la disparition des conditions initialement posées par Emmanuel Macron en avril dernier, notamment concernant la réforme de l’Autorité palestinienne.
Face à lui, le président a défendu sa position, précisant qu’il n’avait jamais parlé de « préalables », mais de « conditions accompagnantes » pouvant servir de leviers diplomatiques. Selon l’Élysée, cette reconnaissance pourrait s’accompagner d’une reconnaissance de facto, de l’ouverture d’ambassades ou encore d’un soutien à une demande de siège à l’ONU.
Le débat a pris une tournure plus sensible lorsque Manuel Valls a évoqué le risque de fracture entre l’exécutif et la communauté juive. Emmanuel Macron lui a répondu en appelant cette dernière à ne pas renier sa tradition universaliste. « L’histoire de la communauté juive, c’est l’universalisme », a-t-il affirmé, tout en mettant en garde contre certaines dérives radicales en son sein.
Il a également souligné que si tous les juifs ne se reconnaissent pas dans la politique de Benjamin Netanyahou, il est tout aussi injuste d’essentialiser les Palestiniens comme des soutiens au Hamas. Une façon pour le président de rappeler que son engagement pour la reconnaissance d’un État palestinien s’inscrit dans une logique de justice et d’équilibre, non d’alignement politique.
Cet échange, respectueux mais tendu, illustre les lignes de fracture que cette décision soulève au sein même du gouvernement, dans la société, et dans les relations de la France avec ses communautés.
Que dire, que faire face à un tel monstre, machiavélique, cet enfant gâté qui a en permanence sous les yeux la ligne de sa carrière politique et qui se fout royalement des souffrances et des morts que son égoïsme et son inculture créent.
Le pire ? C’est que ce Jean-Foutre n’assume pas son égoïsme, sa vision de petit caniche voulant jouer dans la cour des Grands, fût-ce aux prix de millions de morts, fût-ce au prix de la disparition d’Israël !
Et le voilà qui cherche à convaincre les Israéliens juifs qu’ils devraient, au nom de principes sortis de la manche de Macron, accepter de vivre à côté du sanguinaire Palestinien qui ne rêve que de voir leurs enfants égorgés…
Les Juifs devraient donc, selon Macron, au nom de leurs principes se laisser égorger et accepter de danser jour et nuit sur un volcan et même, régulièrement d’exploser comme le dit volcan.
Il n’y a rien, absolument rien dans le judaïsme qui amène cela. Au contraire, le judaïsme est un hymne permanent à la vie, au respect de celle-ci, à la recherche de la grandeur de l’être humain (c’est pour cela que la plupart des juifs reçoivent une éducation soignée, ambitieuse, afin de participer à l’évolution de l’humanité, à sa grandeur, contrairement aux hordes musulmanes qui depuis 1400 ans ne pensent que vol, viol, exploitation, mise à mort, tortures, conquêtes, pour imiter leur beau modèle).
Quant à l’universalisme… l’inculte Macron ignore donc que c’est une création chrétienne et non juive, création qui a été reprise par les Républicains de 1789.C’est l’idée que l’homme, indépendamment de son sexe, de sa nationalité, de sa couleur de peau… est l’ égal de tous les autres hommes...sauf que, précisément c’est cette notion qui est battue en brèche par l’islam, ses textes fondamentaux et la majorité des musulmans du monde qui refusent de voir dans le non musulman, un homme égal à eux, et qui considèrent les juifs comme Hitler les considérait. Il suffit de lire le Coran et de faire la liste des attaques des musulmans du Hamas, du Hezbollah, des mollahs iraniens et compagnie contre le Koufar, le juif, le traitement des femmes, des enfants et des homos en islam, sans oublier les coups de fouet et exécutions publiques de ceux qui ne respectent pas les ordres post mortem du chamelier pédophile pour savoir que parler d’universalisme aux juifs pour les contraindre à vivre à côté de leurs bouchers c’est du crétinisme, de la provocation ou carrément une invitation au suicide.
© Christine Tasin

Bonjour, vous savez ou pas, que le moustique tigre, aedes albopictus se répand en France et je me pose la question suivante, monsieur Macron a il été piqué par cet animal qui transmet certaines maladies comme le chikungunya mais également la dengue (dingue), ceci explique il cela? Quand il publie un « démenti » (sic) pour dire qu’il n’y a jamais eu d’échange verbal tendu avec le ministre des outre mer alors que la presse qui fait son travail l’a tout de même rapporté notamment sur l’utilisation du mot « universalisme » c’est qu’il n’assume pas! De même que j’ignore si un jour il assumera sa politique du quoi qu’il en coute quand l’histoire avec un grand H le désignera comme le président de la dette publique qu’il n’a jamais cherché à dompter. Cette dette publique qui concerne tout le peuple Français est « universelle »! Cordialement.
en plus ,si j’ai bien entendu dans certains médias , l’annonce de la reconnaissance officielle de la France d’un état palestinien aurait été faite le jour même ou Israël et le hamas étaient sur le point de conclure un accord pour la libération des otages et aurait donc facilité le rejet par le hamas de l’accord prévu.Est-ce vrai?