Jean-Pierre Courtel: La seule injustice absolue, c’est de ne pas répondre à la barbarie par la force

Parler de « droit humanitaire »  en temps de guerre est un non sens. La guerre est l’échec de l’humanité, et elle ne se justifie que lorsqu’elle est imposée. Point final.

La guerre n’est pas un débat d’ONG, c’est une mécanique brutale dont le but est limpide : écraser l’ennemi, le réduire au silence, lui ôter toute capacité de nuire. Rien d’autre. Les belles âmes occidentales, bardées de principes et de chartes inutilisables sur le champ de bataille, feraient bien de s’en souvenir.

Les bons sentiments sont une distraction. Un luxe pour ceux qui ne risquent pas leur peau. Dans la guerre, celui qui l’a déclenchée par la terreur, le fanatisme et la haine doit être anéanti. Sinon, il recommencera. C’est une loi, pas une opinion.

Qu’on arrête de geindre. Qu’on cesse de moraliser. La guerre n’est ni propre, ni équitable, ni solidaire. Elle est implacable. L’humanitaire en temps de guerre est un opium pour les idéologues dévoyés. Cela ne sauve personne. Cela soulage juste les consciences.

Il n’y a pas de guerre propre. Il n’y a que des causes justes ou injustes. Et la seule injustice absolue, c’est de ne pas répondre à la barbarie par la force. Celui qui sème le feu récolte le fer. L’humanitaire viendra plus tard, quand les fauteurs de guerre auront été éradiqués.

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2 Comments

  1. La moraline consiste à sacrifier des Innocents pour se donner bonne conscience : c’est l’une des pires formes d’immoralité.
    La véritable morale dit : « Une justice inspirée par la pitié porte préjudice aux victimes ».

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