
Depuis le conflit de juin 2025 avec Israël, le régime a considérablement intensifié ses activités dirigées contre les communautés juives, tant sur son territoire qu’en Europe.
👉Répression contre les Juifs iraniens
La communauté juive iranienne, forte d’environ 15 000 membres et constituant la plus importante population juive du Moyen-Orient après Israël, traverse une période particulièrement sombre. Depuis le 23 juin, les autorités iraniennes ont procédé à l’arrestation de 24 Juifs iraniens de Téhéran et de Shiraz, parmi plus de 700 personnes arrêtées dans le cadre d’une vaste opération de sécurité.
Les autorités scrutent les téléphones portables à la recherche de communications avec l’État hébreu, transformant des appels familiaux en preuves d’espionnage présumé.
Cette situation rappelle tristement l’affaire de 1999, lorsque 13 membres de la communauté juive de Shiraz avaient été arrêtés pour espionnage.
👉L’Europe dans le viseur : espionnage et réseaux criminels
Parallèlement à cette répression interne, l’Iran a développé une stratégie sophistiquée de surveillance des communautés juives européennes. L’arrestation récente d’un ressortissant danois, soupçonné d’espionner pour le compte de l’Iran à Berlin, illustre cette nouvelle donne sécuritaire.
Les services de renseignement français et allemands ont révélé que l’Iran recrute désormais des criminels européens par l’intermédiaire de trafiquants de drogue établis sur son territoire. Ces réseaux ont mené des opérations de surveillance contre des Juifs et des entreprises juives dans plusieurs capitales européennes, notamment Paris, Munich et Berlin.
L’exemple suédois est particulièrement révélateur : les groupes criminels organisés Foxtrot et Rumba ont orchestré plusieurs attaques contre l’ambassade d’Israël à Stockholm sur instruction de Téhéran. En mai 2024, un opérateur de Foxtrot a lancé deux grenades airsoft contre l’ambassade israélienne à Bruxelles.
👉Propagande institutionnalisée
Malgré sa façade, l’Iran développe un antisémitisme d’État systématique. Une analyse récente des manuels scolaires iraniens révèle que les enfants sont exposés à « des messages haineux sur le peuple juif à travers l’histoire ancienne et moderne », présentant l’histoire comme « un conflit entre les dirigeants islamiques d’une part et les ennemis sournois et maléfiques de l’Islam d’autre part ».
Cette propagande s’accompagne d’une intensification des activités numériques hostiles. Depuis le début de 2025, plus de 539 000 publications alléguant des « opérations sous fausse bannière » liées aux Juifs ou à Israël ont été identifiées, marquant un record historique depuis 2010.
Le masque de l’antisionisme est tombé depuis longtemps: le palestinisme est le visage postmoderne de la haine antijuive.
Ils seront défaits.
© Joel Hanhart
Bonjour, la guerre est une chose qui ne s’improvise pas, le « guide suprême » est prêt à embrigader tous les pieds nickelés de ce pauvre monde, c’est un signe de faiblesse et de timidité, il devrait sortir de sa chambre forte qui ne lui donne aucune protection et participer à la prochaine marche des fiertés dans un moule-bite arc en ciel ficelles. Un coach sexuel avec barbe et turban noir, ça vous donne envie??? Très cordialement.