
Israël a arraisonné le petit bateau de Rima Hassan et de la malheureuse illuminée qu’est Greta Thunberg.
C’était évidemment l’objectif de ces lamentables trublions dont l’histoire ne retiendra que la folie des grandeurs et de l’image à tout prix.
Elles espéraient un accostage houleux, des hommes armés à l’instar de ces terroristes qu’elles affectionnent et défendent, qui seraient venus les contraindre par la violence et la brutalité, dont elles auraient pu avoir des images pour enfin mettre en pièces cet indéfectible honneur des soldats israéliens.
Mais à part leurs téléphone portables, qu’elles ont, ainsi que leurs acolytes, jetés à la mer, dans un geste de théâtreuses en fin de siècle, rien n’est venu faire couler le rouge à lèvre et le mascara de Rima Hassan, toujours prête pour une photo inédite.
Ni violences, ni sévices ni viols coutumiers à leur Hamas, seulement, offert par les soldats d’Israël, de l’eau et du pain de shabbat, ce pain de la paix partagé le vendredi pour la réconciliation et la concorde. Ce qu’elles ont toutes les deux accepté avec de larges sourires.
Une fois sur le sol israélien, Rima Hassan et Greta Thunberg ont donc été, sans doute dans l’idée de réveiller leur conscience, emmenées à Ashdod pour assister à la projection du film réalisé par le Hamas sur le massacre du 7 octobre.
Hélas, refusant la réalité, concentrées sur leur déni du réel, elles ont refusé de regarder. Quand idéologies et névroses se rencontrent, la folie s’enracine.
Israël a donc décidé de les remettre, elles et les autres, dans un avion pour la France.
Ce que Rima Hassan et 5 de ses compagnons ont refusé.
Ils voulaient rester en Israël et Macron et Mélenchon ont beau avoir demandé et ordonné à Israël, à grandes envolées bravaches, de rendre leurs ressortissants français et révolutionnaires de papier mâché, rien n’y a fait : Rima Hassan ne voulait plus quitter Israël !
Barbie Rima ne veut plus quitter Israël!
Rima Hassan, tentant un dernier coup de com, a catégoriquement refusé d’être reconduite en France : » Je ne veux pas partir, je ne veux pas quitter Israël ! »
Peut-être qu’elle cherche juste une issue acceptable pour son ego, un dernier tour de valse avant quand même de retourner en France ?
Peut-être et plus probablement ne souhaite-t-elle qu’un emprisonnement et un procès qui la définiront, croit-elle, comme la pasionaria d’un 21è siècle apathique et désenchanté, en mal de figure de proue ?
Ou bien a-t-elle seulement été séduite par la solidité tranquille des soldats israéliens ?
Ce n’est absolument pas exclu.
Je ne sais pas si d’ici quelques heures le trio infernal, Hassan, Macron, Mélenchon, aura trouvé d’autres tribunes pour inciter à la haine d’Israël et à un antisémitisme dont on entrevoit la partie immergée, étendue comme des plaques tectoniques contre lesquelles les juifs du monde vont de nouveau être fracassés.
Mais malgré moi, c’est avec pitié que je regarde ces femmes qui chacune à leur façon sont utilisées par des Mélenchon et Macron, enfin toutes sortes de politiciens sans scrupules, des affairistes, des écolos et des économistes mondialistes, qui calculent leurs gains au travers de nouveaux et juteux marchés, et pour lesquels elles ne sont que des folles de Loudun, mais hélas de dangereux outils parce que la folie est rarement douce et qu’à l’ère d’internet, la moindre image, le moindre mot est démultiplié et répercuté à l’infini de la terre.
Un dilemme « existentiellement » juif
Regarder Rima Hassan et Greta Thunberg avec pitié oui, les pauvres d’esprit ne sont pas totalement responsables, mais aussi avec de la colère parce que l’indécence de cette mascarade navale politico-médiatique est honteuse au regard des Gazouis dont elles viennent de démontrer qu’ils n’étaient pas leur objectif.
Honteuse au regard des otages torturés et assassinés dans les tunnels de Gaza.
Honteuse au regard de toutes les victimes d’une guerre voulue par le monde arabo musulman d’un Moyen-Orient ambigu.
Honteuse au regard d’Israël, qui pendant qu’elles jouent à la révolution, doit gérer son âme intérieure, autant que ses frontières.
Israël qui raisonne, se remet en question, tente de sauver l’esprit de sa foi autant que celui de sa chair dans un dilemme essentiellement juif :
Se battre à l’arraché pour un nouveau « plus jamais ça » en tentant de sauver nation et peuple, ou bien, comme l’ont suggéré Horvilleur et quelques autres, accepter de mourir au nom de ce judaïsme biblique et pur qui fit monter 6 millions de juifs sans résistance dans des wagons pour des camps d’extermination ?
Un dilemme évidemment essentiellement juif, difficile à cerner pour ceux qui pendant leurs guerres, n’ont jamais hésité à bombarder tout ce qui était du vivant de Berlin à Dresde ou Mossoul, de l’Irak à la Syrie et partout sur leurs zones de conflits, enflammant les corps qui s’amalgamèrent aux trottoirs de Dresde aussi bien qu’à Mossoul.
Les Macron, Mélenchon et tous les nouveaux parvenus de la bien-pensance, nostalgiques d’idéologies totalitaires ou englués dans de névrotiques tentations de l’innocence, que peuvent-ils comprendre de la dualité philosophique qui taraude Israël, écartelé entre sa nécessité de survivre et celle de protéger la vie ? Rien évidemment.
On ne peut donc ni les juger ni leur en vouloir, tout le monde n’a pas la chance de naître juif, mais qu’ils se taisent, au moins qu’ils se taisent…
© Louise Gaggini
Ecrivain, journaliste, mais aussi sculpteur et peintre, pianiste, bref une « artiste plurielle ». Diplômée de lettres, d’Histoire de l’Art et de Conservatoire de musique. Auteur de nombreux dossiers pour la presse et la télévision, dont certains ont été traduits par l’Unesco, des organismes humanitaires et des institutions étrangères à des fins d’éducation et de prévention et d’autres furent diffusés par l’EN, Louise Gaggini est l’auteure d’essais et de romans dont La résultante ou Claire d’Algérie et d’un livre d’art pour l’UNICEF: Les enfants sont la mémoire des hommes. Elle est aussi l’auteure d’essais de société, et expose régulièrement, récemment à New York.
elle a publié son premier roman pour littérature jeunesse en 2001, et son premier roman pour adultes en 2004.
Où la trouver :
« refusant la réalité, concentrées sur leur déni du réel, elles ont refusé de regarder » Greta est peut-être dans ce déni: quand on prétend avoir été torturée avec des chansons pour enfants, il y a effectivement un doute sur ses capacités cognitives et son potentiel d’empathie, mais Hassan? juriste, militante chevronnée, admiratrice du parti Baas, celle qui voit dans l’Algérie un « phare de la liberté » et dans Israel le mal absolu, non. Elle SAIT très bien ce qui s’est passé et je ne doute pas une seule seconde que comme tous ceux et celles de son espèce, elle se réjouit de tout ce qui est arrivé ce jour là. Au grand show de l’islamisme fusionnant avec les Bobolsheviks et autres guerilleros de Twitter/X, proposez d’autres 7 octobre et elle criera « encore, encore ».
cet article reflète les peuples qui ont une âme,
de très nombreux pays ont perdus leur âme, les progressistes ont détruit le plus important le courage
sous l impulsion de ceux qui courent après leur image
dirigeant sans empathie, avec une distortion de leur esprit
qui les amènent à de fausses analyses pour le mal être de leur peuple
Je me demande pourquoi Israël n’a pas eu l’idée de proposer au Hamas d’échanger ces clowns contre des otages. Leur réponse aurait été hilarante .
Vers octobre 2017, Eric Coquerel avait voulu rendre visite à un prisonnier palestinien en Israël, auteur d’un attentat ayant fait plusieurs morts sur un marché. Ces gens là sont prêts à tout pour faire parler d’eux. Ce qui les intéresse c’est d’attendrir la population des quartiers hélas endoctriné. Ainsi ils parviennent à récolter leurs voix dans les différentes élections. Procédé lamentable…