
« Pourquoi voulez-vous que nous dissimulions l’émotion qui nous étreint tous, hommes et femmes, qui sommes ici, chez nous, dans Paris debout pour se libérer et qui a su le faire de ses mains.
Non ! Nous ne dissimulerons pas cette émotion profonde et sacrée. Il y a là des minutes qui dépassent chacune de nos pauvres vies. Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé! … » Général de Gaulle
le 25 août 1944 devant l’ Hôtel de Ville
Un match de foot au plus haut niveau, un résultat inespéré, inattendu …
La joie des supporters, la Tour Eiffel illuminée …
5400 représentants des forces de l’ordre mobilisés et il arriva ce qui était prévisible : désordres, pillages, destructions, arrestations… tout le folklore habituel quand les supporters des « quartiers sensibles » se ruent sur les Champs Elysées pour voler, briser et montrer qui ils sont.
Ce n’est pas, ce n’est plus un match de football avec un résultat enthousiasmant qui a provoqué la joie des « tifosi »: c’est une véritable démonstration de force !
« On est partout, on fait ce qu’on veut et vous ne pouvez rien contre nous », message subliminal destiné à tous ceux qui n’ont pas lu ou entendu parler de Houellebecq et de son livre prémonitoire : « Soumission ».
© André Simon Mamou
Comme on fait son lit on se couche
Ce qui s’est déroulé à Paris et en province n’a rien à voir avec le foot. Si le PSG avait perdu, il y aurait eu le même enthousiasme dans la haine et la destruction. Le foot n’est qu’un prétexte parmi tant d’autres au djihad et à l’intifada.
Pays de barbares.