Merci à vous de parler de ce sujet important qui concerne un jour ou l’autre toutes les familles. En 2013, j’ai vécu des moments douloureux avec la perte de mes parents, d’une longue maladie. J’ai pu constater à cette époque, le manque de soins palliatifs. Aussi tout dépend du médecin. Certains sont à l’écoute des familles, d’autres plus ou moins. Il a fallu que je me batte pour obtenir qu’il n’y ait pas d’acharnement thérapeutique, mais une réponse à la souffrance du malade. Après je suis d’accord avec vous. Il faut une loi qui doit développer les soins palliatifs avec tous les moyens. Aucune considération religieuse ne doit interférer sur les discussions, l’élaboration de la loi sur la fin de vie. Le rapport à Dieu, est une affaire personnelle. La décision finale revient au patient, quand il a encore sa conscience et son libre arbitre. D’où, même si cela peut sembler jeune, à cette période en 2013, à l’âge de 46 ans, j’ai fait une lettre à mon médecin traitant avec mes directives anticipées.Je veux décider pour moi ce que je souhaite. On accorde bien aux animaux la possibilité de mourir sans trop souffrir. Pour les hommes, l’euthanasie, non, mais le droit de mourir dans la dignité, oui.
Heureusement nous ignorons quand nous mourrons.Je ne sais si D.ieu qui donne la Vie et la reprend, m’aidera, ou si çà sera la morphine, pour l’instant, j’écris, sur Tribune juive.
Merci à vous de parler de ce sujet important qui concerne un jour ou l’autre toutes les familles. En 2013, j’ai vécu des moments douloureux avec la perte de mes parents, d’une longue maladie. J’ai pu constater à cette époque, le manque de soins palliatifs. Aussi tout dépend du médecin. Certains sont à l’écoute des familles, d’autres plus ou moins. Il a fallu que je me batte pour obtenir qu’il n’y ait pas d’acharnement thérapeutique, mais une réponse à la souffrance du malade. Après je suis d’accord avec vous. Il faut une loi qui doit développer les soins palliatifs avec tous les moyens. Aucune considération religieuse ne doit interférer sur les discussions, l’élaboration de la loi sur la fin de vie. Le rapport à Dieu, est une affaire personnelle. La décision finale revient au patient, quand il a encore sa conscience et son libre arbitre. D’où, même si cela peut sembler jeune, à cette période en 2013, à l’âge de 46 ans, j’ai fait une lettre à mon médecin traitant avec mes directives anticipées.Je veux décider pour moi ce que je souhaite. On accorde bien aux animaux la possibilité de mourir sans trop souffrir. Pour les hommes, l’euthanasie, non, mais le droit de mourir dans la dignité, oui.
Heureusement nous ignorons quand nous mourrons.Je ne sais si D.ieu qui donne la Vie et la reprend, m’aidera, ou si çà sera la morphine, pour l’instant, j’écris, sur Tribune juive.
Et nous vous lisons, nombreux, Daniela
Merci, chère Tribune juive.