Témoignage sur Tandem TV: Peur à Sciences Po

Témoignage courageux d’un étudiant de Sciences Po Paris face à l’antisémitisme et à la radicalisation

Dans l’émission Face à Face, animée par Sophie Bria, Maxime Loth, étudiant et responsable du hashtag#PrintempsRépublicain à hashtag#SciencesPo, revient sur les menaces, insultes et intimidations qu’il a subies pour avoir défendu publiquement Israël après le hashtag#7octobre.

Il évoque le climat de peur, les slogans pro-Hamas dès le lendemain des massacres, les blocages d’examens, et l’inaction des instances.

Dans cet épisode de « Face à Face », Sophie Bria reçoit Maxime Loth, étudiant à Sciences Po Paris et responsable du Printemps Républicain au sein de l’école.

Dans un climat de tensions croissantes depuis le 7 octobre 2023, il dénonce l’émergence d’un antisémitisme décomplexé, les appels à la haine, les menaces physiques et les dérives idéologiques d’une minorité radicalisée qui paralyse la liberté d’expression au sein de l’université. Maxime revient sur les événements déclencheurs, les slogans pro-Hamas dès le lendemain des massacres du 7 octobre, les blocages d’examens, et les intimidations dont il a été personnellement victime en tant que défenseur de la République, de la laïcité, et du droit d’Israël à exister. Il évoque également les carences de l’institution, les limites du cadre disciplinaire, et appelle à un sursaut collectif. 📌

Thèmes abordés :

– Sciences Po et la montée de l’antisémitisme

– L’après 7 octobre dans les universités françaises

– L’instrumentalisation de la cause palestinienne

– La réponse du Printemps Républicain

– Menaces, blocages, insultes : Maxime Loth raconte

– Le rôle des extrêmes dans la crise universitaire

– L’éducation face à l’ignorance et la radicalité 🟨 « Nous sommes peu à assumer publiquement la défense d’Israël, c’est pour cela que nous sommes visés. »

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1 Comment

  1. La nazification et islamonazification (car c’est de cela qu’il s’agit) des universités françaises (et belges, suisses, anglophones, suédoises etc) ne date pas d’hier. L’origine du processus remonte aux années 60-70 et est il devenu massif dès les années 80-90.
    Nazification universitaire d’abord tolérée puis voulue et encouragée par le pouvoir en place qui en est lui-même issu.

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