
3,785 jours de captivité!
Alors que sa famille attend désespérément de le serrer à nouveau dans ses bras, Avera Mengistu reste l’otage le plus ancien du mouvement djihadiste génocidaire Hamas, détenu depuis plus d’une décennie dans la bande de Gaza.
Son histoire illustre la brutalité du Hamas et la faillite morale et opérationnelle du International Committee of the Red Cross – ICRC.
Avera, aujourd’hui âgé de 38 ans, souffrant de troubles mentaux, a franchi la barrière de Gaza le 7 septembre 2014.
Depuis ce jour, sa famille vit un cauchemar confrontée non seulement à l’absence de leur être cher mais aussi à une forme d’oubli collectif.
« Au début, personne ne comprenait notre combat. On nous disait ‘C’est votre problème, il est parti seul' », témoigne Gil Elias, un membre de sa famille. Ce n’est qu’après les attaques pogromistes menées le 7 octobre 2023 par le complexe Hamas-UNRWA que leur cause a enfin trouvé un écho dans la conscience collective israélienne.
La seule preuve de vie d’Avera date du 16 janvier 2023, quand le Hamas a cyniquement diffusé une vidéo le montrant considérablement vieilli. « Il avait du mal à parler. Ce n’était plus le même homme », raconte sa famille.
Aujourd’hui, alors qu’Avera figure sur la liste des otages devant être libérés, sa famille oscille entre espoir et appréhension. « Nous sommes devenus des experts de la douleur », confie Gil Elias, soulignant la cruauté d’une situation où leur proche est retenu « à cinq minutes de vol, si proche et pourtant si loin. »
Cette histoire met en lumière non seulement la brutalité du Hamas, capable de détenir un homme vulnérable pendant plus de 10 ans, mais aussi l’hypocrisie du CICR. Le récit palestiniste basé sur des affabulations ne peut intégrer un Avera Mengistu. Son histoire, sordide, restera un miroir placé face aux scélérats qui, en pervertissant l’humanitaire, ont trahi l’humanité.
Source principale: https://lnkd.in/dbYbsjj6
© Joel Hanhart
Pour les racistes de Black Lives Matter, la vie d’un Noir vaut plus que tout…sauf s’il est juif ! Dans ce cas-là, sa vie ne vaut plus rien du tout à leurs yeux.