“Je suis prêt à fournir un passage sûr à Sinwar, sa famille, quiconque veut le rejoindre. Nous voulons récupérer les otages”, a affirmé Gal Hirsch
Le négociateur en chef israélien pour les otages et les personnes disparues, Gal Hirsch, a proposé d’offrir au leader du Hamas Yahya Sinwar un exil sûr hors de Gaza en échange des 101 otages détenus par le groupe terroriste, a révélé Bloomberg mardi.
Selon l’article, la proposition de permettre l’évasion de Sinwar de Gaza était sur la table depuis deux jours, à la date de publication. Cette offre aurait été faite pour trouver des solutions alternatives à un accord, alors que les négociations en cours “semblent de plus en plus sombres”, a expliqué Hirsch. Auraient été proposées à Sinwar un passage hors de la bande de Gaza ou l’immunité. “Je suis prêt à fournir un passage sûr à Sinwar, sa famille, quiconque veut le rejoindre. Nous voulons récupérer les otages. Nous voulons évidemment une démilitarisation, une déradicalisation – un nouveau système qui gérera Gaza,” a déclaré Hirsch. “Mais en parallèle, je dois travailler sur les plans B, C et D car je dois ramener les otages chez eux,” a ajouté Hirsch. “Le temps presse ; les otages n’ont pas de temps.”
L’article rapporte également qu’Israël a, par le passé, déjà envisagé discuté l’option de l’exil des dirigeants du Hamas. Mais en mai, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré dans le podcast “Call Me Back” que “le plus important était que le Hamas se rende. “S’ils déposent les armes, la guerre est terminée,” avait-il expliqué.
AFP
On sait tous que le Hamas ne se rendra jamais. Je souhaite qu’aucun de ces barbares n’échappe à la mort qu’il mérite. Il n’existe pas de paix possible avec les Nazis islamistes. Leur raison de vivre est la haine et la mort. On ne peut pas les deradecaliser ou signer un traité de paix durable avec de tels monstres : il faut se défaire de cette fausse morale héritée du christianisme et de l’abolitionnisme parce que cela revient à sauver la vie des bourreaux au détriment des vies innocentes. Il ne faut pas de tout pour faire un monde.