Petits accommodements en coulisses. L’éternel double jeu du président français

Est-on obligé de “se prostituer” devant son “altesse l’émir du Qatar”, cette dernière eût-elle engagé 10 milliards d’investissements en France.

En… 2030.

Où en serons-nous en 2030, à ainsi collaborer sans foi ni loi ni honneur avec … le Qatar

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

7 Comments

    • Oui, on peut facilement s’en convaincre aujourd’hui.
      Mais l’ont-ils vraiment élus ou les résultats du scrutin ont-ils été “bidouillés” ?

  1. Macron est le continuateur de la politique arabe de la France , il n innove pas dans l attitude scelerate et les coups tordus contre Israel .
    Ses predeçesseurs ont suivi cette ligne .
    La propagande antisioniste qui a “eduqué” des generations de français dans la haine d Israel a produit l effet escomptė , et ce n est pas macron qui l a lancée , c est une politique choisie et pensée pour le bonheur et surtout la fortune des possedants français qui s engraissent avec l argent du qatar et vendent leur quincaillerie au monde arabe

  2. Macron : les accusations contre la France (de crime contre l’humanité) par lui proférées en Algérie, avant même son élection, laissaient présager tout ce qui se passe aujourd’hui, le fonctionnement de Macron avec la France et avec Israel, la fausseté de son jugement, ses intentions malveillantes à l’égard de son propre pays. Tout était déjà très visible, de telles accusations constituaient une alerte. Ce n’était pas normal qu’il parle ainsi de son pays. Dommage que pas grand-monde ne l’ait vu – ou cru que c’était possible. ça l’était.

  3. Fable : Le quin-têtes de l’État

    Mummy said : I had a dream ! In English, of course.

    Bible, Isaïe 7.14 : « C’est pourquoi le Seigneur, lui, vous donnera un signe, Voici, la jeune femme concevra et enfantera un fils et l’appellera Emmanuel. »
    Matthieu 1.23 : « Aussi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : la Vierge concevra un fils, elle enfantera et l’appellera : Emmanuel »

    L’enfant prodige, Providence-Ciel, et Jupiter-Rien, s’est vu confier la baguette magique de la direction d’un grand et vieux pays, pour interpréter une partition Révolution-Ère-Nouvelle, relégatrice cosmique et cosmopolite de l’Ancien Monde : celle de la Start Up Nation.

    Il avait été inspiré par « Mom’s dream » à un point tel que Porte de Versailles, qu’il croyait être celle du château en fin géographe et connaisseur de l’Île de Guyane, devant une foule en liesse, formatée high-tech, tel le révérend Moon aux accents apocalyptiques, agrémentés de postures à la Benito, et d’un langage de « fureur » genre Arturo (H)ui, il tint un discours d’anthologie, dans une sémiologie rappelant son prénom traduit à la façon « Got mit uns ».

    Cette baguette magique de chef d’orchestre, une fois entre ses mains, pensait-il, lui permettrait à la fois « d’être le chef » et l’orchestre en « même temps », héros victorieux thuriféraire de soi-même, parce que tueur d’un Père indigne !

    Ainsi, enfila-t-il la redingote queue-de-pie sur sa culotte courte, n’oubliant pas de chausser les vernies (s’en est un spécialiste langagier) avant de gagner son pupitre.

    Avec le temps, l’homme à la pensée complexe (confuse ?) réalisa qu’il lui faudrait, nonobstant son talent immense acquis sur les planches, se doter d’instrumentistes, et éventuellement d’un chœur majoritaire.

    Un peu pantelant, au bout des cinq premières mesures, il reprit son souffle pour diriger les cinq suivantes. Mais, déchiffrer une partition non écrite, se révèle un exercice délicat lorsque l’on sort d’une école où n’est prodigué aucun cours de solfège… Place, donc, à l’improvisation !

    Clef de sol, ou clé de fat, peu importe.

    Mais, lui-même assurant la direction de l’orchestre et le rôle de primus inter pares, difficile de compter sur Larcher du second violon, situé à droite de la fosse.

    Il décida donc de confier à une joueuse de luth le pivot de son œuvre. Mais elle rencontra le défaut de voix d’un chœur devenu minoritaire pour l’accompagner.

    Alors, il faudrait tout de même bien résonner. A cet effet, il dota le quintet d’un joueur de grosse caisse toujours prompt à cymbaler à la vue d’un chiffon noir sur qui tirer à boulet rouge, et tirer, il s’y connait un peu, en qualité de Garde des Chasseurs.

    Enfin, pour parachever la composition, celle du quintet, pas celle de la partition, il trouva dans la langue de Shakespeare qu’il pratique si aisément, donc en dehors de la culture française qui n’existe pas, venant de la gauche de la fosse, une joueuse de pipeau, flûte désenchantée, et s’ébaubissant il déclara « A delicious (sic) prime minister is born ! » (1) .

    Démarrant allegro forte, le quintet ne sachant trouver l’harmonie des accords accumula les fausses notes. Ce qui devait être l’embryon d’une symphonie Du Nouveau Monde donna naissance à une cacophonie grinçante. Une sorte de mauvaise caricature déstructurée de la Baba Yaga, revue façon musique sérielle jouée « en même temps » par des instruments désaccordés.

    Les guichetiers successifs, AB et YB, pourtant issus de la discrimination positive, se trouvèrent au chômage du fait de la mévente des billets à l’instar de celle des cartes postales du 14 juillet.

    Les techniciens de surface, aux fins de mois précaires, se révoltèrent en réclamant le salaire de la peur.

    Le grand corps dit « plomatique » malade, mais de Parkinson, se mit à trembler après l’ablation de certains membres, le chef d’orchestre assurant désormais soi-même et directement les fonctions qui lui étaient dévolues.

    Alors, les tournées des concertistes devinrent houleuses, et bientôt le vent des instruments éponymes se mit à tournoyer sous les huées de l’intérieur de la salle et itou de l’extérieur, tant les fausses notes devenaient inaudibles.

    Le chef, omniscient et omnipotent, disposant de surcroît, parmi toutes ses qualités, de celle de sportif accompli et de tennisman averti, fut lobé à chaque balle et essuya tous les revers.

    De nombreux pays renvoyèrent les instrumentistes jugés incompétents, leur fermèrent l’accès aux salles de concert, et celui des nations les toisa en rigolant sous cape.

    Aux dernières nouvelles, et de source sûre, exilé volontaire sur l’île d’Eubée, l’ancien chef d’orchestre passerait son temps à devenir le petit télégraphiste de lui-même en s’envoyant, des lettres anonymes dithyrambiques rapportant en alexandrins choisis son épopée tragique, louanges d’un génie incompris.

    Un théâtre y aurait même été édifié, lui permettant de déclamer ses vers devant un public unique, à proximité d’une vaste fontaine …

    (1)Contrairement à ce que raconte la chanson : « She is no longer alive » … puisque le chef a troqué une antique béquille contre une nouvelle « attelle ».

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*