Laurence Kleinberger. “Une larme de Rivka”. Quand Kol Aviv célèbre à sa manière la fête des mères

À écouter chez nos amis de Radio Kol Aviv, qui parlent de “petit bijou”: Laurence Kleinberger nous parle d’Une Larme de Rivka, ce Roman juif, ce journal intime, cette autobiographie, cette histoire de vies et de mémoires, car, TJ en avait parlé: “Une vielle mère au cerveau à trous, ce n’est pas drôle. Pourtant la déprime devient marrante. car lorsqu’on a une mère “Alzheimer” et que l’on porte en soi toutes les larmes de la Shoah, quand votre histoire a des allures de four crématoire, à part rire en sanglots qu’est-ce qu’on peut faire pour survivre ?”, avait expliqué Laurence.

J’ai horreur de l’humour.

Je déteste les libraires et je commande tout sur Amazon.

Je ne trie jamais mes déchets et au supermarché

Je me dirige systématiquement vers les caisses automatiques.

Même quand il y a des caissières disponibles.

Parce que je n’aime pas les caissières.

J’ai voté Macron ! J’ai voté…

J’ai constamment les yeux qui suintent, ça me déprime…

Je suis une fille détestable. D’ailleurs, j’ai enfermé ma mère dans un hôtel de luxe” : Cette quatrième de couverture présente un roman à la lecture duquel le lecteur se sera attaché à ce duo mère-fille, à ce personnage-auteur-narratrice improbable et dont il se fait quasiment une amie. À la dernière page, via le récit de Laurence, le voilà, ce lecteur, comme un peu entraîné à ce qui -il le sait- va lui arriver à son tour à lui.

Merci à G. B.

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