Stephan Rabinovitch. Il semblerait que la France éprouve, de manière quelque peu récurrente, des difficultés à rendre justice aux Juifs…

43 ans après, s’ouvre le procès de l’attentat de la rue Copernic.
“Un attentat qui visait des Israelites et qui a frappé des Français innocents”.

La langue ne ment pas


De l’affaire Dreyfus à l’assassinat de Sarah Halimi, en passant par les attentats de la rue Copernic et de la Rue des Rosiers, il semblerait que la France éprouve, de manière quelque peu récurrente, des difficultés à rendre justice aux Juifs…

Stephan Rabinovitch est Réalisateur, Scénariste, Directeur de production, Producteur.

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3 Comments

  1. Si un juif est agressé par un neo nazi au crane rasė , le systeme reagira dans les 3 heures !!! Le probleme n est pas la judeité de la victime mais l identitė de l agresseur .
    La France islamisée et soumise au qatar ne peut pas s en prendre a un islamiste , c est pourtant clair non ?

  2. Il semblerait que la France eprouve de manière récurrente des difficultés à rendre justice tout court. L’idéologie de Kobili traore est d’ailleurs la même que celle de Black lives matter, du parti des indigènes de la République et se voit en partie cautionnée par le discours également raciste de SOS racisme, du CRAN, du feminazisme etc…Des mots de Houria Bouteldja au passage à l’acte de Kobili Traore, il n’y a qu’un pas. C’est l’identité de l’agresseur qui compte. Oui, mais également celle de la victime. Si Sarah Halimi avait été noire et que Kobili Traore avait été blanc, le monde entier en aurait parlé…Le problème c’est que ce genre de scénario n’existe quasiment plus depuis des lustres.
    La justice française et celle d’autres pays du “camp du bien” agit toujours comme cela parce qu’elle se conforme à l’idéologie raciste qui est l’idéologie dominante. En outre le meurtre de Sarah Halimi a eu lieu pendant la pseudo campagne de 2017. Pour favoriser le véritable fascisme (dont Kobili Traore est un exemple) il fallait agiter le spectre d’un fascisme imaginaire aux cheveux blonds. Revenir sur ce scandale d’Etat ne sert pas à grand chose si l’on n’en comprend pas les causes et les motivations idéologiques et politiques profondes et structurelles.

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