René Seror. Changer de braquet ou changer de peuple ?

Il y a quelques jours, j’écrivais: “Ce qui devrait nous interpeler tous, c’est que, quand le peuple ne convient plus, c’est-à-dire n’adhère plus aux idées de ses dirigeants, – (et avec un président aussi directif, on peut dire “aux idées de SON dirigeant)-, quand le peuple ne convient plus, cette majorité a l’idée de CHANGER LE PEUPLE”.

Car ce président nous aura tout fait. 
A peine élu, il diminue les bourses aux étudiants, 
Il touche aux retraites, 
Il ne voit pas, ou ne veut pas voir le vent de la révolte gronder et ce sont les Gilets jaunes. 
Après avoir assisté sans broncher à la dégradation des villes, des monuments, des commerces… sans réagir, il sort de son palais doré et monte une usine à gaz pour saupoudrer des salaires déjà réduits et nettement insuffisants. 
Une promesse qu’il fait payer aux travailleurs. 
Certains magiciens n’en reviennent pas. 

Quand éclate la pandémie, alors que l’Europe en général et la France en particulier sont privées de tout, le président en profite pour redorer son blason. 
Et c’est “l’argent facile”!
Une dette colossale que nos arrières-petits-enfants paieront encore en 2050 et au-delà. 
Surtout que l’argent facile a donné des idées à tous les escrocs, les profiteurs et voyous en tous genres. 

Arrive alors le temps des consultations. 
Le pouvoir exécutif sent bien que le peuple lui est hostile et ne partage pas ses idées. 
Que tout ce qui a été entrepris, tant en matière de politique intérieure, qu’en politique étrangère, tant en politique sociale qu’en position financière, ne colle pas: alors commence le jeu de la girouette. 
Un petit coup à droite quand la droite a le vent en poupe, puis barre à gauche toute quand le vent tourne. 
Bien que ré-élu, l’homme sent qu’il est de plus en plus décrié. 

C’est alors que germe dans l’esprit de certains cette idée saugrenue:
“Donnons le droit de vote aux étrangers.”
Il n’en faut pas plus pour aller à la rencontre de son futur électorat,
dit clairement de “son futur peuple”. 

Au lieu de changer de direction en fonction de le demande des français, 
au lieu d’écouter, il va distribuer des visas en échange du gaz dont les russes le privent. 
Ainsi, faisant d’une pierre deux coups, il se débarrasse  de ce qui le gêne, en croyant gagner les bonnes grâces d’individus qui haïssent la France et ne se gênent pas pour l’exprimer avec véhémence et brutalité. 

En voulant ignorer qu’il n’est pas éternel, 
En ne visant que son propre intérêt, il jette la France dans les griffes d’une population dont elle ne sortira que par la guerre.
René Seror

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2 Comments

  1. Toute l’UE (d’ailleurs pilotée par le sénile de Washington et sa procureure) est dans la même logique. Voir mes commentaires précédents. Le camp macro melenchoniste peut d’ailleurs par une détestation pathologique et masochiste de la France. TOUTE la politique menée et TOUT le discours dominant depuis 2017 sont SYSTÉMATIQUEMENT opposés aux intérêts de la France. A tous les niveaux et dans tous les domaines. La politique européenne et étrangère du squatteur de l’Élysée ne fait pas exception à la règle.

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