Le BNVCA dénonce la soumission de l’ONU aux suppôts du terrorisme palestinien

Le BNVCA, qui régulièrement s’insurge contre le biais anti israélien de l’ONU, dénonce le dernier acte témoignant de la soumission indigne de cette instance internationale aux terroristes islamistes.

Sarah Mascroft, responsable du bureau d’aide humanitaire aux Palestiniens à l’ONU, a, dans un tweet, légitimement condamné les plus de mille roquettes du Jihad islamique tirées à l’aveugle sur Israël, lors de l’opération « Aurore », la semaine dernière à Gaza. Il est utile de rappeler que plus de 200 roquettes, sur ces 1000 roquettes, ont explosé sur place, à Gaza,  en faisant des victimes locales, dont on s’est empressé de faire endosser la responsabilité à Israël. Cette responsable a mentionné que les attaques israéliennes étaient une réponse aux attaques et aux menaces du Jihad islamique. En effet, durant quatre jours, les habitants proches de la bande de Gaza sont restés enfermés, toute circulation interdite, suite à la menace d’attaque d’un bus. Cette responsable a manifestement contrevenu à la ligne directrice de l’ONU qui accuse en permanence Israël et a été immédiatement licenciée. Préalablement, elle avait dû retirer son tweet et s’en excuser. 

« Israël attaque les pauvres populations palestiniennes», tel est le narratif officiel de l’ONU pour expliquer les innombrables condamnations d’Israël et justifier les milliards de dollars versés aux éternelles victimes palestiniennes. L’UNRWA est l’organisme dédié à ces victimes ultimes héroïsées par le narratif palestiniste des BDS et autres activistes pro-terroristes. Car, il faut faire croire à leur malheur extrême, pire que celui de tous les réfugiés du monde, qui, eux, ne bénéficient ni de l’attention méticuleuse des médias, ni des subventions énormes, versées année après année. L’arnaque des temps modernes. 

A l’heure même où Salman Rushdie a été poignardé lors d’une conférence, sans condamnation de l’ONU. A l’heure même où un terroriste palestinien a ouvert le feu sur un autobus à Jérusalem, près de la sortie du Kotel, sans condamnation de l’ONU, ce licenciement prouve que l’ONU n’est même plus un « machin ».

Le BNVCA demande à la France de condamner ce licenciement et surtout de s’empêcher lors des prochains votes de l’ONU destinés à condamner Israël. « Un homme ça s’empêche », la France aussi. 

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