30/3. Institut Français d’Israël, Tel Aviv: Soirée Schibboleth “L’affaire Sarah Halimi ou l’éradication du sujet”

Présentation-Débat

A l’Institut Français d’Israël, Tel Aviv, sera présenté et débattu, via l’Ouvrage collectif  L’affaire Sarah Halimi ou l’éradication du sujet, ce sujet lourd de sens, lors de la première séance du
Séminaire 2022 Schibboleth – Actualité de Freud “Malaise dans, de la culture  ?”


Argument

Dans le cadre d’un séminaire inédit Schibboleth – Actualité de Freud à l’Institut Français d’Israël à Tel Aviv, présenter « L’affaire Sarah Halimi ou l’éradication du Sujet » selon le titre éponyme du livre réalisé par un groupe d’intellectuels, d’universitaires, d’auteurs, de praticiens issus de différentes disciplines (psychanalyse, droit, histoire, journalisme et analyse des discours, des images, des idéologies, des médias, littérature, cinéma … ), c’est reprendre l’histoire des violences antisémites en France depuis le 19e siècle, dégager le contexte et la généalogie du crime barbare d’une femme pédiatre, le Dr. Sarah Halimi, la psychopathologie de l’acte antisémite, mettre en œuvre les enjeux anthropologique, civilisationnel, psychopathologique, idéologique, du politique.

Il s’agit d’interroger ce qui participerait d’une crise profonde des représentations, de l’identité et de la transmission, et des institutions censées être garantes des marqueurs du Symbolique constitutifs d’une vie en société, enfin ce qu’il en est de l’état de culture d’une société et de la psyché collective.

Qu’est-ce qu’il en est aujourd’hui de l’éthique de vérité et d’exigence d’élévation de l’intellectualité, de responsabilité individuelle et collective, de pensée et d’action, d’une liberté responsable, de la construction du Sujet, de qu’est-ce qui fait peuple, et de son fond commun? 

« L’affaire Sarah Halimi » est-elle une affaire française ? Constitue-t-elle un symptôme d’une clinique du contemporain ? Comment se la représente t-on ailleurs ? 

Des co-auteurs de l’ouvrage seront présents en débat avec des intellectuels, journalistes, historiens, juristes, psychiatres… israéliens, de filiation de pensée différentes, et avec le public.


Sous la présidence de Et avec la participation de Michel Gad WOLKOWICZ
psychanalyste (APF) ; professeur ass./visiting professor, Psychopathologie (Universités de Paris Sud, Tel Aviv, Glasgow) ; président de : l’Association Internationale Schibboleth – Actualité de Freud & The Interdisciplinary Institute Schibboleth – Presence of Freud מכון אינטר-דיסציפלינרי שיבולת , נוכחותו של פרויד

Et avec

Simon EPSTEIN 
historien

Maurice IFERGAN 
journaliste

Debborah ABITBOL 
docteur en droit ; avocat aux barreaux de Paris et d’Israël

Sam TYANO 
professeur émérite de psychiatrie ; président d’Honneur de The Interdisciplinary Institute Schibboleth – Presence of Freud מכון אינטר-דיסציפלינרי שיבולת , נוכחותו של פרויד)

Elie CHOURAQUI
cinéaste

Olivier RAFOWICZ 
chroniqueur, essayiste

William ATTAL
frère de Sarah Halimi 

– ש –


Argument

Dans le cadre d’un séminaire inédit Schibboleth – Actualité de Freud à l’Institut Français d’Israël à Tel Aviv, présenter « L’affaire Sarah Halimi ou l’éradication du Sujet » selon le titre éponyme du livre réalisé par un groupe d’intellectuels, d’universitaires, d’auteurs, de praticiens issus de différentes disciplines (psychanalyse, droit, histoire, journalisme et analyse des discours, des images, des idéologies, des médias, littérature, cinéma … ), c’est reprendre l’histoire des violences antisémites en France depuis le 19e siècle, dégager le contexte et la généalogie du crime barbare d’une femme pédiatre, le Dr. Sarah Halimi, la psychopathologie de l’acte antisémite, mettre en œuvre les enjeux anthropologique, civilisationnel, psychopathologique, idéologique, du politique. Il s’agit d’interroger ce qui participerait d’une crise profonde des représentations, de l’identité et de la transmission, et des institutions censées être garantes des marqueurs du Symbolique constitutifs d’une vie en société, enfin ce qu’il en est de l’état de culture d’une société et de la psyché collective.
Qu’est-ce qu’il en est aujourd’hui de l’éthique de vérité et d’exigence d’élévation de l’intellectualité, de responsabilité individuelle et collective, de pensée et d’action, d’une liberté responsable, de la construction du Sujet, de qu’est-ce qui fait peuple, et de son fond commun? 
« L’affaire Sarah Halimi » est-elle une affaire française ? Constitue-t-elle un symptôme d’une clinique du contemporain ? Comment se la représente t-on ailleurs ? 
Des co-auteurs de l’ouvrage seront présents en débat avec des intellectuels, journalistes, historiens, juristes, psychiatres… israéliens, de filiation de pensée différentes, et avec le public.

– ש –


Les auteurs

Boualem Sansal, Georges Bensoussan, Gilles-William Goldnadel, Richard Prasquier, Daniel Dayan, Jean-Pierre Winter, Daniel Sibony, Sarah Cattan, Elie Chouraqui, Steve Suissa, Monette Vacquin, Jacques Tarnero, Noémie Halioua, Thibault Moreau, Yves Mamou, Claude Birman, Jacques Amar, Michel Gad Wolkowicz

En couverture, photographie d’une œuvre de Ofer Lellouche 


Entrée libre
Inscription requise :  secretariat@schibboleth.fr
Mercredi 30 mars 2022
de 19h00 à 21h30 (heure israélienne)Institut Français d’Israël
Rothschild Blvd 7, Tel Aviv-Yafo, Israël


> Informations, programme sur www.Schibboleth.fr 
ou en écrivant à secretariat@schibboleth.fr

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1 Comment

  1. Il est urgent de remarquer que, chaque fois qu’un crime est commis contre une personne de confession juive EN FRANCE par un musulman, celui-ci est “reconnu” fou, donc évite la prison sans avoir été jugé devant un jury. Et c’est systématique. Chaque criminel ou assassin de Juif évite la prison car il est jugé fou. De qui se moque-t-on ? Ĺes ordres viennent-ils de l’Elysée ? Dans l’affirmative, pourquoi ? est-ce de la peur ? (d’émeutes, de déplaire à la communauté musulmanne, de perdre certains avantages ou intérêts) ? Et pour quelle raison les policiers, en nombre, présents derrière la porte de Sarah Halimi, et alors qu’ils entendaient ses cris, ne sont pas intervenus?

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