Les Kalifat, Korchia, Mergui, Korsia et Cie: ils regardent “ailleurs” concernant le scandale Sarah Halimi

A quoi servent-ils? A courtiser les Dirigeants en place. A courir les cocktails.

Alors que se poursuivent depuis bientôt trois mois les travaux de la Commission d’Enquête parlementaire sur l’Affaire dite Sarah Halimi, obtenue à la force du poignet par le député Meyer avisent, et que se succèdent des auditions qui chaque jour apportent un lot de révélations fracassantes, étonnamment les choses se passent sans que réagissent nos médias nationaux qui se révèlent in fine  inintéressés – sauf en cas de Tribune des Intellectuels, lesquelles donnèrent bonne conscience à chacun des signataires et au media qui les publia-,  inintéressés et totalement indifférents à ladite affaire, à l’image encore plus criante et indigne des Dirigeants des Institutions communautaires supposées représenter les Juifs de France mais en réalité occupés à chacun garder leur fauteuil et à penser en terme d’élection à venir, quitte pour cela à lisser toute aspérité courant le risque de déplaire au Pouvoir en place et s’adonnant donc à un silence honteux en l’affaire : Circulez, Y a rien à voir, semblent-ils tous nous dire, regardant ailleurs et nous enjoignant de faire comme eux : Ceux que Gilles-William Goldnadel appelle La Communauté juive organisée n’avait-elle pas, au lendemain-même de la mort de Sarah Halimi, déclaré via un communiqué de pacotille que la chose n’était pas guidée par quelque antisémitisme, puisque … Nul couteau n’avait été retrouvé.

I24News, Radio Kol Aviv, Tribune juive, Radio J sont quasiment les seuls à avoir relayé depuis son début l’extraordinaire, honteuse et indigne Affaire dite Sarah Halimi et à suivre donc la Commission d’enquête parlementaire. L’honnêteté nous demande de citer l’excellent article du Point de Nicolas Bastuck[1], mais encore la pitoyable plaidoirie de Mediapart sur laquelle nous reviendrons.

Présents aussi depuis le début les deux Groupes de Soutien à Sarah Halimi : Agissons pour Sarah Halimi et LGPS, lesquels se démènent sans compter comme en atteste le Meeting LGPS qui se tient ce soir à la salle Olympe de Gouges à Paris et auquel participent quelques personnalités, ou, initiée par le Groupe mené par Jonathan Behar, l’Opération Cartes Postales envoyées en soutien à la Commission.

Gratitude encore au Temps fort ou le Groupe de Réflexions Schibboleth Actualités de Freud consacra des heures à lier ce qu’il appela l’extermination de Sarah Halimi et ce qu’elle incarnait, le peuple juif, avec le soutien au groupe terroriste Hamas qui mettait à l’œuvre son projet de massacre de masse à l’encontre des Juifs.

Tout cela à rapprocher des tentatives de délégitimation d’Israël à force de soutien au Hamas, et des Résolutions votées à l’ONU, telles celle consacrée au Mont du Temple.

Depuis le 12 septembre et jusqu’au 13 janvier, le Député Meyer Habib préside comme il sied aux travaux de ladite Commission et le job, il le fait, et même il le fait excellemment, interrogeant chacun sans esquiver aucune question, le faisant avec la courtoisie requise, laissant s’exprimer à volonté la personne auditionnée, avant de donner la parole à ceux des membres de la Commission qui la demandent.

Incessamment, le Député rappela que ladite Commission n’était ni un troisième ni un quatrième niveau de juridiction et répéta l’objectif affiché d’en relever les éventuels dysfonctionnements.

Meyer Habib, enfin, a par ailleurs choisi, comme l’y autorisent les textes, de rendre publiques les auditions.

D’emblée, un agenda a été annoncé et quasiment toujours respecté, faisant que furent successivement entendus toute la chaîne de commandement de la Police nationale, les avocat, les magistrats, les psychiatres, y compris celui qui a reçu Kobili Traoré avant de le déclarer prestement inapte à une Garde à vue et de le placer en UMD, les experts médicaux, de hauts magistrats dont le patron du Parquet antiterroriste, le Procureur général François Mollins en poste au moment des faits, le Préfet Maurice Cadot, les ministres concernés,  celui de l’Intérieur et celui de la Justice mais encore un Joël Mergui, lequel nous expliqua pourquoi, après avoir été reçus par le Procureur de Paris, les Représentants de la communauté juive organisée se fendirent d’un communiqué affirmant de manière précipitée que la mort de Sarah Halimi n’était pas un meurtre antisémite, puisque de couteau il n’y avait pas, et puis encore les autorités religieuses concernées, Haïm Korsia, les témoins, les voisins…, chacun prêtant serment conformément aux dispositions de l’article 6 de l’ordonnance du 17 novembre 1958 relative au bon fonctionnement des Commissions parlementaires.

Des manquements effarants firent d’emblée de cette affaire une farce surréaliste, abracadabrantesque, émaillée qu’elle était de dysfonctionnements assourdissants, qu’il s’agît du rôle de la Police ou de la manière hallucinante dont la juge Ihuellou mena l’Instruction.

La Commission avait de nombreuses questions à poser concernant :

  • La non-réaction ou immobilisme de Forces de Police restées spectatrices
  • La manière inédite dont opéra la juge en charge de l’Affaire
  • Les auditions de témoins qui déposèrent au matin mais ne furent pas entendus par la juge
  • Le refus de celle-ci de requalifier le crime en assassinat
  • Le refus de la même d’acter la circonstance aggravante de barbarie malgré un rapport d’autopsie accablant
  • La non investigation de la mosquée Omar, célèbre pour ses accointances salafistes et ayant eu affaire avec la justice pour avoir abrité une filière de djihadistes
  • La non-investigation des ordinateurs et téléphones du coupable et de ses proches alors que seul celui de Sarah Halimi fut mis sous scellé
  • Le non-recours aux Fadettes
  • Des interrogatoires bâclés, faits sans que l’incohérence et les contradictions en fussent retenues et qui permirent par exemple de conclure de façon infondée, concernant la famille Diarra,  à une séquestration qui n’avait jamais existé
  • La page Facebook de Traoré elle aussi non investiguée, alors que, tenue sous le pseudonyme de Fofana, en guise d’hommage au Chef du Gang des Barbares qui assassinat Ilan Halimi
  • Une interminable et insupportable masturbation intellectuelle avant que fût actée la circonstance aggravante pour antisémitisme, après nous avoir servi des fadaises de chandeliers qui auraient servi d’étincelles à un baril de poudre
  • Un refus enfin de Reconstitution, laquelle aurait permis de prouver la préméditation, mais encore le fait que de chandelier ni de Torah il n’y avait point, et d’interroger les manquements divers
  • Le recours à cet expert venu gloser sur l’abolition ou l’altération du discernement du meurtrier après qu’il se fût contredit et de facto décrédibilisé en actant d’abord une pathologie qui  aurait affecté le tueur et être in fine tombé d’accord sur l’inexistence de quelque pathologie que ce fût.

On s’apercevra in fine très rapidement qu’alors que s’étaient écoulé plus de quatre mois avant d’avoir un réquisitoire introductif ouvrant sur l’antisémitisme et plus de 10 mois pour que, tel un lot de consolations consenti à la société juive de France, Traoré soit mis en examen de ce chef, il ressortait des auditions que :

  • Il n’y avait pas eu de séquestration
  • La première brigade de policier avait entre les mains le trousseau de clés complets lequel lui aurait permis d’entrer dans l’appartement des Diarra au lieu que de rester à six devant une porte
  • La psychiatrie s’est vue confier un rôle exorbitant
  • La préméditation était aisément susceptible d’être prouvée grâce à la reconstitution

L’abolition du discernement de l’individu était elle-même mise à mal par différents arguments qu’une reconstitution aurait éclairés ; Traoré ne pouvait être en état de non conscience lorsqu’il avait choisi sa cible juive. Ni lorsqu’il avait choisi de maquiller son crime en suicide. Actons encore le temps indécent qui venait rendre les auditions et expertises discutables : cinq mois et demi s’étaient écoulés avant que Traoré fût entendu et expertisé, un an pour que Bensoussan l’entendît…

Les Brigadiers expliquent…

Les auditions successives des Brigadiers primo-intervenants étaient lourdes de sens, la première, celle du brigadier en charge du premier escadron arrivé sur les lieux, donnant le La : il ne se souvenait plus bien quatre ans après, il n’avait souvenance d’aucun appel au secours, il avait certes entendu les sourates et autres incantations du meurtrier, mais pour autant, il n’avait pas décidé de pénétrer l’appartement parce qu’ il n’en avait pas ressenti… l’urgence, la nécessité. Tel un Eichmann, avec la voix, le regard et le visage de la lâcheté, l’homme répétait qu’il avait fait son travail et ne paraissait encombré d’aucune conscience morale, d’aucun remords, venant nous rappeler les mots d’Hannah Arendt, lorsqu’elle évoqua… une anesthésie de la pensée.

C’est que ce Brigadier avait entre les mains les clés-mêmes lui permettant de pénétrer l’appartement où se préparait Diarra, mais, dit-il : Je n’ai pas eu le réflexe d’utiliser les clés, je n’en ai pas ressenti l’utilité ou l’ urgence, je ne sais pas si j’avais conscience que j’avais les clés… Son job il l’a fait : il a sécurisé les lieux, il a rendu compte à ses supérieurs de la chose.

Les dépositions des autres responsables de police étaient de la même veine : Non, aucun des policiers n’avait entendu les cris d’une femme, hurlements devenu gémissements puis plaintes puis silence, et s’il leur était opposé que ces cris avaient été entendus alentours, réveillant moult voisins qui avaient appelé le 17, Eux persistaient : Nous n’avons rien entendu.

Tous ces hommes étaient armés lourdement, munis de gilets lourds et de casques balistiques. La famille Diarra supposée séquestrée leur avait affirmé par la fenêtre que Traoré n’était ni armé ni accompagné. Mais eux n’en démordent pas : ils ont été appelés pour une séquestration, point barre. Alors ils gèrent la séquestration.

Pendant ce temps, les appels vers le 17 continuaient, et signalèrent … une défenestration.

C’est ainsi que le corps de Sarah Halimi, jeté par la fenêtre par son assassin, tombera au pied de policiers qui ne firent,  dirent-il, toujours pas le rapport entre deux affaires qui à leurs yeux se jouaient par hasard dans un même lieu et dans un même temps : une histoire de séquestration et une histoire de violence sur femme.

En somme, tout le quartier avait compris, sauf nos policiers…

Poussés dans le retranchement par des membres de la Commission interloqués, ils eurent quelque mal à se souvenir … qu’après le Bataclan, un changement de doctrine d’intervention, influencé peut-être par la doctrine israélienne, intimait d’aller au contact…

La Juge Ihuellou

Interrogée deux heures durant, la juge Ihuellou, laquelle semblait offusquée d’avoir ici à s’expliquer, avait au début réponse à tout : elle n’avait pas interrogé ni reçu les avocats car elle n’en avait ni le temps, ni le goût, dit-elle, de faire salon.

Elle avait refusé toute reconstitution afin de ne pas risquer de fragiliser davantage notre Traoré, et dit s’être référée pour cela à l’expertise du Docteur Zagury, laquelle à aucun moment ne préconisa de renoncer à une reconstitution

La même Juge ne daigna pas jeter un œil sur les photos que William Attal, frère de Sarah Halimi, lui confia et qu’elle passa à la greffière sans un regard : la juge d’instruction n’a pas de sentiments, dit-elle, elle doit appliquer la loi.

Elle concédait n’avoir entendu aucun des témoins, pas même celui chez qui Traoré avait passé la nuit : la police ne l’avait-elle pas déjà fait…

Elle n’avait pas investigué la mosquée Omar… sans doute le manque de temps…

Si elle n’avait pas investigué le portable du tueur, c’est qu’il ne figurait pas parmi les pièces sous scellés. Elle concéda cependant n’avoir pas cherché à se procurer ledit portable, par ce que personne n’en savait le numéro.

Elle n’avait pas jugé utile d’accompagner les membres de la commission sur les lieux du crime…

Et l’on pourrait continuer ad nauseam:

Le manque de temps. Le manque de temps. Le manque de temps.

Le fait encore que ça ne lui avait pas été demandé : je n’ai pas été saisie d’une affaire de potentiel terrorisme.

Et puis, surtout, revenant à tout bout de champ : La Loi. La Loi. La Loi. Elle ne pouvait élargir le champ d’investigation, dit-elle, refaisant le code de procédure pénale et amenant un de ses collègues à nous dire qu’il n’avait jamais vu un juge se foutre de la gueule du monde à ce point.

Elle était magistrat, et donc chargé d’instruire pour la seule manifestation de la vérité, qu’elle soit jolie ou moins jolie, qu’elle fasse plaisir à l’un ou à l’autre. L’instruction était aujourd’hui terminée, on n’allait pas la refaire ici : c’était interdit par la loi, par la séparation des pouvoirs, par l’autorité de la chose jugée.

L’audition de Maître Szpiner

Maître Szpiner, avocat en son temps dans l’Affaire Ilan Halimi, après avoir expliqué plus longuement que de raison que monter une intervention et un assaut étaient choses difficiles et infaisables en 40 minutes, après avoir aussi refusé de juger inacceptable l’absence de reconstitution, revint sur deux points : Traoré avait choisi sa cible et celui qui avait plaidé dans l’affaire Ilan Halimi nous redisait qu’il y avait de la part de certains une réticences à reconnaître l’antisémitisme ne venant pas de l’extrême droite et venant comme ici d’une culture antisémite des banlieues.

Par ailleurs, pour lui, la justice pénale avait délégué son pouvoir à des experts, or, répétait-il, les juges ont chacun leurs experts…

Il évoqua ce médecin qui avait vu Traoré après le meurtre et avait considéré que l’individu ne pouvait être mis en garde à vue et était, à son sens, était allé au-delà de sa mission: la question était de savoir si notre homme était ou non en état de répondre à des questions, s’il était en état de comprendre l’accusation portée contre lui. C’était, dit Maître Szpiner,  à la Cour d’Assises de se forger son opinion et de statuer. La juge, elle, s’était substituée à la Défense, laquelle n’avait rien eu à demander : Anne Ihuellou l’avait devancée.

En somme, conclut Szpiner, le scandale était que Traoré avait échappé à son jugement sur des bases expertises contestables et contestées, avec une Démission de l’Autorité judiciaire. Il insista sur le fait que Traoré ne souffrait d’aucune maladie mentale. Enfin, il rappela que la loi israélienne, pour laquelle la prise de psychotropes était une circonstance aggravante et non exonératoire, était compétente pour tout Juif tué à l’étranger parce qu’il était juif. Il rappela que Traoré n’avait pas été acquitté mais qu’il bénéficiait d’un non-lieu.

Enfin, selon l’avocat, l’Affaire n’avait pas été classée terroriste parce qu’il était désormais coutume de minimiser ces actes commis par des fous, des camions fous : On veut minimiser le terrorisme islamiste lorsqu’il est antisémite.

Pour rappel, après celle du rapporteur Didier Paris, d’autres démissions advinrent mais encore des oppositions frontales, venant de membres de LREM ou La République en marche, lesquels manifestèrent ouvertement, au fur et à mesure qu’explosaient les dysfonctionnements, une relative hostilité à la Commission. Richard Ferrand n’a-t-il pas rappelé à Meyer Habib à ses obligations, lui reprochant d’avoir rendue publique l’audition des Diarra, laquelle en effet s’était tenue à huis clos, mais ne contenait en rien quelque secret d’État. La chose étant relayée avec gourmandise par un Mediapart qui, nous le savons, choisit les minorités que l’on doit défendre ou pas.

Enfin, à écouter Gérard Darmanin répéter à l’envi qu’il ne couvrait pas ses policiers mais les croyait et le Procureur Ricard osant nous expliquer ce qu’était le terrorisme, c’est-à-dire une entreprise destinée à troubler l’ordre public, on s’apercevait, ces dernières heures, de la tournure que prenait la chose.

Il nous reste Maître Loïc Henri et Nathanaël Majster

Ces deux-là n’ont jamais quitté le dossier des yeux. Oui “Un Faux en écriture” pour toutes les fadaises et autres mensonges éhontés inscrits au dossier devrait être dénoncé.

C’est plié, me dira Un de ceux qui avaient décortiqué la procédure et rappelé combien il était choquant que les Services d’enquête de proximité en charge du dossier eussent fait immédiatement l’impasse sur l’aspect terroriste de l’affaire alors que tous les dossiers où le mis en cause avait crié Allah akbar, qu’il s’agît du Carrousel du Louvre, des Champs-Élysées, de Magnanville ou de Levallois-Perret, avaient été soumis aux magistrats anti-terroristes…

Enfin, une magistrat de haute expérience à laquelle je demandais s’il était possible d’imaginer quelque pression me répondit : Je ne les imagine pas. J’en suis certaine. Parce que je connais. Simplement. Elle me parla d’habillage, de camouflage, me répétant : Je parle d’expérience. Il n’y a rien de complotiste dans ces mots.

Se mêler de l’Affaire dite Sarah Halimi, il fut un temps où ça pouvait vous acheter un semblant d’Honneur.

Se mêler de l’Affaire dite Sarah Halimi, Aujourd’hui où explosent les révélations fracassantes, ça n’est plus la même chose : les mêmes se font discrets. Raisonnables. Accommodants. Lâches.  

Ça n’est pas comme si c’était Assa Traoré et son Comité pour Adama : voilà les Juifs bientôt punis d’avoir été si légitimistes, si républicains. Les Mergui, Kalifat, Korsia, les Intellectuels, et puis aussi les non-Juifs : tous sont-ils aux abris ? Je gage que, sommés de choisir entre le déshonneur et faire montre de courage, ils vont réagir. Car Nous ne laisserons pas Sarah Halimi sans Procès.


Pour rappel, Lorsque les Commissions d’Enquête découvrent “des faits délictueux”, elles ont le pouvoir de transmettre les informations recueillies au Ministère de la Justice aux fins d’Ouverture d’une Enquête judiciare, ou encore de saisir directement le Parquet. Tel fut le cas en 2006 de la Commission d’Enquête sur l’influence des mouvements sectaires sur les mineurs.

[1]  De de la juge en garde à vue de l’Assemblée nationale

Sarah Cattan

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

11 Comments

  1. On veut minimiser le terrorisme islamique lorsqu il touche des juifs et lorsqu il touchent des non juifs ….l
    L entreprise d abetisation generale comprend un controle de l information digne des plus belles années de la stasî ….. le gamin eventré a lyon, les pauvres jeunes filles egorgées gare st charles , le pere Hamel etc ….. tous sont passés sous le tapis de la bienpensance car la haute bourgeoisie ne controle plus rien et ses relais s effritent …..
    bientot la sortie officielle du pot aux roses , car Zemmour a lancé le compte a rebours

  2. Que représentent véritablement ces messieurs. Leur égo surdimensionné est passé à autre chose. Champagne et petits fours ont eu raison d’une pauvre femme suppliciée pour le seul fait d’avoir été juive.
    Les français juifs ne s’y trompent pas et attendent faute de mieux, Eric Zemmour.

  3. Les mains des policiers ligotées, la bouche du juge baillonnée, la mort en kidouch hashem d’une tsadeket et l’injustice qui s’en est suivi.
    De sorte que s’il reste des justes en France ils ne font plus le poids face qu poids des iniquités des francais.
    Le sort de la France et des francais est à présent scellé dans les cieux.
    Montez en Israel.

  4. Le nombre de dysfonctionnements de cette affaire est si hallucinant qu’il serait inconcevable qu’une révision du procès n’ait pas lieu.
    Comme l’a fort bien dit le Dr Melman, un vrai procès en assises serait salutaire pour tout le monde, la société, la famille, la justice, les pouvoirs publics et y compris pour l’assassin qui doit répondre de son acte et effectuer une vraie peine de prison, faute de quoi il recommencera.

  5. Des revisions de proces, quoique rares, sont possibles en presence de faits nouveaux de nature a changer … (je cite de memoire et ne suis nullement juriste). La connaissance nouvellement divulguee de faits qui auraient dus etre connus au moment des proces anterieurs mais ont ete caches (inexistence de chandeliers pouvant avoir excite un sentiment de “vengeance” chez Traore, inexistence de toute sequestration, inaction policiere “justifiee” precisement par le fait que celle-ci se croyait en presence d’une affaire de sequestration …) est-elle au regard de cette possibilite equivalente a la presence de faits nouveaux ?

  6. On avait les mêmes en 1939 …. Juifs de cours qui on collabores avec la gestapo . Voir podcast Time Line site très sérieux sur l.histoire en général .
    Ils sont partis comme tous les autres dans les camps pour la majorité … il est vrai que pour ces juifs sepharades qui n.ont pas connu la guerre … les camps c.est loin . Une honte . J.espère que zemmour sera élu rien que pour les faire … cxxxr

  7. Bjr,
    Nos “zelites”que vous citez n’ont pas le temps de s’occuper de Mme HALIMI,ces juifs de cour sont trop occupés à courir les medias pour denoncer E.Zemmour.on ne peut pas tout faire.
    Merci de tout ce que vous faites.
    Bonne journée

1 Trackback / Pingback

  1. Mrs Kalifat, Korchia, Mergui, Korsia, Regardez du côté de la “Commission d’enquête Sarah Halimi” et Faites montre d’Honneur - Citron IL

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*