Michèle Chabelski. On sabre le champagne car on peut aller à Fontainebleau sans autorisation

Bon
mardi

Qu’est ce que tout cela ça nous dit?

  Une chose simple.

   Que rien n’est jamais acquis et que l’esprit humain a été monté a  l’envers..

  Faire un homme, c’est comme monter une armoire  Ikea…

 Faut s’assurer qu’on a toutes les pièces et les emboîter convenablement.
Sinon ca ne tient pas

  Et faut  défaire et refaire, ce qui est assommant, vous en conviendrez…

  Et le bon dieu qu’avait beaucoup bossé avec les fleurs, les poissons, les poireaux, tout ça, s’est dit: ça va bien comme ça, ça tiendra ce que ça tiendra.

  Si ça se casse la gueule, on avisera…

  Vous voyez le résultat…

     Ca résiste, mais super mal…

  En même temps, c’était pas fait pour durer très longtemps, on a de la chance, en fin de compte…

  Mais ce que je veux souligner ici, moi j’ai rien fait, mais j’ai le droit de juger, c’est que l’homme , au lieu de goûter son acquis, les fleurs, les poissons, les poireaux, tout ça, ne voit que la part d’ombre et critique tout.

Les fleurs se fanent, les poissons bouffent du mercure et les poireaux sont pleins de pesticides…

 Resultat, le bon dieu, plein d’amertume, reprend son fourbi, balance tout aux ordures, et l’homme crie, pleure, se lamente, menace, regrette, lance des imprécations, puis des suppliques  et le bon dieu, qui a autre chose à foutre, lui rend un petit peu de ce qu’il avait jeté à la poubelle, et l’homme  , qui a eu chaud aux miches, s’en contente  cette fois, et souffle, soulagé.

 Vous m’avez comprise.

    Le Covid nous a presque tout pris, et aujourd’hui on sabre le champagne parce qu’on a le droit d’aller à Fontainebleau sans autorisation…

  La morale de l’histoire

   Au lieu de geindre et de tout stigmatiser, remettons les boulons de l’armoire dans le bon sens et buvons…

 Car pour boire,  il faut un verre  – même à moitié plein…

   Je vous embrasse

© Michèle Chabelski

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1 Comment

  1. Allez, chère Michèle, dites-nous clairement ce que vous avez contre Dieu (votre “bon dieu”). Crachez le morceau une fois pour toutes.

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