Sarah Cattan. Rambouillet

Hier vendredi Outre que nous étions une nouvelle fois tous sidérés devant la barbarie islamiste qui frappa cette fois un fonctionnaire de police au sein-même   de son Commissariat, Nous dûmes encore non seulement acter l’incurie de nos dirigeants successifs devant le danger récurrent mais encore son déni et la lâcheté, sa jumelle.

Alors que se répétait le scenario morbide désormais coutumier et qu’ils venaient tous se répandre en condoléances, il en fut peu pour qualifier la chose.

Les radio et Télé se contorsionnaient pour nous parler d’une attaque à l’arme blanche, laquelle avait frappé une Policière au cou, et de la formule se référant à Allah dont personne n’était certain.

Le Grand Prix de la traitrise revient une fois encore à Mediapart et son titre odieux, grand prix redoublé par les excuses voulant nous faire accroire que ça n’était pas eux mais l’AFP de laquelle Ils auraient paresseusement recopié l’insigne dépêche dont ils firent un titre qu’ils corrigèrent quelque peu, pris sous les balles de la critique.

La République C’est moi ne fut pas en reste, qui dut bien se résoudre à communiquer, via un tweet indigne où étaient absents les termes Policière Terroriste et Islamiste.

La députée Obono nous a assurés sur France Info – Qui sait fort bien choisir ses invités – qu’il ne fallait surtout pas faire d’amalgame bla bla bla et nous a enjoint sévèrement de cesser de considérer l’immigration comme la mère de tous les maux français. C’est un hasard s’il s’agit d’un tunisien répétait en boucle celle qui n’est pas Charlie et qui refuse de dire Vive la France

Pendant ce temps, éléments de langage obligent, nos ministres se succédaient, déposant l’expression de leur soutien et celle de leur solidarité mais là encore, alors que l’enquête était désormais officiellement entre les mains du PNAT, le qualificatif islamiste ne sut être prononcé par ces responsables politiques pleutres.

Il en fut bien Un, pour qualifier l’acte terroriste, et ce fut notre PR en personne, définitivement désavoué qu’il est aujourd’hui avec son dérisoire Nous ne céderons Rien Ils ne passeront pas.

Enfin, Notre échec retentissant se grava dans la pierre lorsqu’il fut décidé que nos commissariats, chargés de nous protéger, seraient désormais tous … sous haute protection.

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