Philippe-Emmanuel Toussaint. De la Vulgarité, cette indigence crasseuse

Avant on avait Néron et Pétrone, Napoléon et Chateaubriand (même Napoléon III et Hugo ça avait de la gueule), et puis De Gaulle et Malraux (et même l’angle De Gaulle / Brasillach présente un intérêt historique et intellectuel).

Mais là… Comment dire ? Macron et Bellegueule… Merde quoi !

L’arrogance actuelle des faussaires et des imposteurs ordinaires de l’infiniment méprisable est impossible à soutenir. La fabrique du mythe facile de l’entre-soi, à partir de flaques immondes du vomi de la médiocrité, devient la marque même d’une vulgarité sui generis de notre temps.

Que dire de cette indigence crasseuse ? Je me refuse à disserter d’une expression hystérique du néant dans la fine fleur de sa nullité. La nature a de toute façon horreur du vide.

Qu’on arrête sur-le-champ l’écrivassier graphomaniaque responsable de cet odieux barbouillage. Et qu’il apprenne par cœur en cellule Le Crépuscule des idoles.
Qui sait, le génial Friedrich lui remettra peut-être la cervelle à l’endroit.

© Philippe-Emmanuel Toussaint

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