Les hommes peuvent mourir pour la liberté – Gil Taieb

La Parole est aux Héros, que les autres se taisent !

En ce 7 juin, j’aimerais tout d’abord avoir une pensée émue et fraternelle pour ces centaines de milliers de jeunes qui le 6 juin 44 ont participé au débarquement allié.

La statue du commandant Kieffer inaugurée hier à Ouistreham.

Les images et les témoignages nous montrent combien leur sacrifice et leur abnégation fut grande lorsqu’au sortir des barges et des avions, ils se sont lancés à la reconquête de la Liberté. Ces centaines de milliers de Héros anonymes doivent rester à jamais présents dans nos esprits.

Ils sont notre Histoire.

En ces temps où certains appellent à la division et à la haine, il est fondamental de raconter et de transmettre l’histoire de ce DDay.

Il est essentiel de ne jamais oublier.

Il y a 75 ans, le 6 juin 44, des centaines de milliers de combattants venant des quatre coins du monde, sur les côtes normandes, ont libéré l’Europe et le monde libre de la tyrannie nazie.

Cette page d’histoire est une réponse à ceux qui comme Monsieur Dupont-Aignan ont osé déclaré : « les hommes ne peuvent mourir que pour leur Nation »

Non monsieur, ils peuvent mourir pour la Liberté.

HAR A BAIT BA YADENOU

Le 7 juin est aussi un jour qui fait date pour tous les juifs du monde. Le 7 juin 1967 est le jour de la réunification de Jérusalem.

Le jour qui a enfin permis au peuple juif de retrouver son cœur et ses lieux saints.

Nous n’oublierons jamais ce jour où les troupes de parachutistes Israéliens pénètrèrent dans les rues sinueuses de la vieille ville.

Lt. Gen. Mordechai “Motta” Gur,Wikipédia

Nous l’oublierons jamais, la voix du Général Mota Gur annonçant avec émotion « Har À Baït Ba Yadenou » « le mont du temple est entre nos mains »

Moshe Dayan au mont du Temple, le 7 juin 1967 (Crédit : Ilan Bruner / GPO)

Nous n’oublierons jamais les généraux Uzi Narkis, Moshe Dayan, Yitshak Rabin, Ariel Sharon, et tous les officiers de Tsahal qui ont conduit Israël à la victoire éclair, dans une guerre imposée, face à l’Égypte, la Syrie et la Jordanie.

Nous n’oublierons jamais ceux qui ont perdu la vie durant ces batailles.

Depuis 62 ans, Jérusalem réunifiée est redevenue la capitale d’Israël.

Il n’y a que depuis un an, que le président des États-Unis, Donald Trump, respectant enfin un engagements de tous les précédents locataires de la Maison Blanche, a transféré son Ambassade à Jérusalem.

Il a fallu 52 ans pour qu’enfin certains états suivent ce mouvement courageux du président américain.

Qu’ils en soit remerciés, mais surtout, que tous les autres antisionistes maladifs ou tout simplement peureux ou suiveurs, comprennent que leurs hésitations ne modifieront jamais le cours de l’Histoire.

Jérusalem est et restera la capitale éternelle du peuple juif.

Elle l’a été pendant des millénaires d’exil dans les cœurs et les prières. Depuis 52 ans, depuis le 6 juin 1967, elle l’est redevenue physiquement et géographiquement.

N’en déplaise aux marionnettes de l’ONU ou à la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée Nationale et à ces diplomates qui poursuivent une politique arabe de la France, alors que le monde Arabe lui-même a changé et que certains regardent déjà vers Israël et sa capitale Jérusalem.
L’histoire s’écrit au quotidien et elle doit énormément au courage et à la volonté des Hommes. Que les Héros soit honorés et que les autres se taisent !

Vive la Liberté.

Bonne fête à Jérusalem

Gil Taieb

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