Jamais il ne dort ni ne sommeille

Le psaume 121 est l’un des quinze psaumes (120 à 134) appelés Cantiques des degrés שירי המעלות shirei hama’alot car ils commencent tous par les mots Shir hama’alot.

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Ils étaient chantés lors des trois fêtes de pèlerinage sur les marches qui menaient au Temple de Jérusalem, une montée physique et une élévation spirituelle.

Le paume 121 est le seul qui ne commence pas par les mots Shir HaMaalot, שיר המעלות Chant des degrés mais par Shir LaMaalot, Chant pour les degrés שיר למעלות et de nombreux exégèses se penchent sur la signification de ce lamed    לֹ, cette lettre hébraïque qui a la même racine que le mot étude et la seule dont la graphie s’élève au-dessus des autres. C’est aussi la dernière lettre de la Torah (qui se termine par le mot ישראל Israël).

Dans de nombreuses communautés, le psaume 121 fait partie de la liturgie et il est lu lors de la prière du soir.

C’est un texte absolument bouleversant. J’ai choisi de partager avec vous cinq interprétations qui suivent la musique qu’a écrite Yaakov Karduner en 1992.

 

  1. Les Musikids

https://youtu.be/lozPgGFxNvE

2. L’interprétation du compositeur Yosef Karduner

3. Ninet Taieb en 2009

4. Yosef Azulai

5. Le duo Rita et Mosh Ben Ari

Source kefisrael

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