Donnez 2 semaines de votre vie à Tsahal

Si une caractéristique de l’Etat hébreu réside dans sa grande diversité, une autre particularité est définie par la dévotion et la loyauté du peuple israélien à son armée, Tsahal, fidélité que l’on retrouve chez des recrues venues de l’étranger, mues par le seul désir de soutenir Israël et son droit à exister, se portant souvent bénévoles pour les unités les plus difficiles. De l’hébreu צה״ל, Tsahal, initiales de l’hébreu צבא הגנה לישראל, Tsva Haganah Lé-Yisrael, Armée de défense d’Israël.

C’est avec Tsahal, qu’il commanda au cours de la Guerre des Six-Jours, qu’Yitzhak Rabin prétendait combattre le terrorisme comme si il n’y avait pas de paix et faire la paix comme si il n’y avait pas de terrorisme. David Elazar, lui, commanda Tsahal au cours de la Guerre de Kippour et il déclara : Les monuments de notre peuple ne commémorent jamais des victoires. Ils commémorent les noms des disparus. Nous n’avons pas besoin d’Arc de Triomphe. Nous avons Massada, Tel-Haï et le Ghetto de Varsovie, où les batailles ont été perdues mais où la guerre pour l’existence du peuple Juif a été gagnée. Quant au Chef d’Etat-major Benny Gantz, il déclara, à l’occasion de la Conférence annuelle autour de la Mémoire de la Shoah : Nous devons défendre Israël et les Juifs du monde entier. Nous devons défendre les frontières d’Israël et ses citoyens mais aussi regarder autour de nous et agir chaque fois qu’un Juif est en danger, simplement parce qu’il est juif. Nous avons la capacité et le devoir de combattre avec détermination l’antisémitisme, également les nouvelles formes qu’il peut prendre. Nous devons assurer la pérennité de l’État d’Israël comme refuge pour les Juifs du monde entier, un refuge où tout notre peuple peut vivre sans crainte. Un foyer national sûr, défendu par son armée et capable de faire face à tous les conflits. Cette Conférence se tenait au Musée Yad Vashem en présence de l’ensemble de l’État-major israélien le lundi 16 avril : il s’agit d’une tradition au sein de Tsahal et tous les hauts responsables militaires israéliens y assistent.

Voilà donc ce que dirent 3 hommes qui furent aux commandes de Tsahal, l’armée de l’État hébreu qui connut sept guerres et au moins deux intifada depuis sa création il y a soixante-huit ans.

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Alors que chaque jeune Israélien doit passer trois ans (deux pour les femmes) sous les drapeaux, des Programmes invitent chaque année chacun d’entre Nous, Vous, moi, à pénétrer cette Unité légendaire et à lui donner un coup de main bienvenu.

J’ai eu le privilège de découvrir ces programmes en rencontrant Michael Allouche, de découvrir une façon d’être, sans doute spécifique à la seule Tsahal, et d’apprendre que chacun peut aider l’Etat hébreu.

« Le 31 Aout 1966, Tsahal m’a recruté à la fin des études secondaires, comme tous les jeunes de mon âge, entre 18 ans et 18 ans et demi. Après avoir fait mes premières classes pendant 2 mois, on m’a envoyé passer un cours de réparation de tourelles de chars. 2 mois et demi dans une école technique militaire, puis transfert dans une base de maintien et réparation de chars, à 15 km d’Ashkelon. Là, dans la compagnie Aleph, j’ai commencé à travailler sur des chars centurions (Britanniques) et AMX (Français). Il faut savoir que la compagnie Bet répare des voitures et des camions, que la compagnie Gimel répare des chars Sherman (Américains), et que la compagnie des techniciens s’occupe des armes légères de toutes sortes.

En Mai 1967, l’état d’alerte est lancé dans tout le pays, suite aux menaces de Gamal Abdul Nasser, Président de l’Egypte. La guerre des 6 jours, je l’ai faite au Sinaï. Pour la fête de Chavouot, j’ai reçu ma première perm du Sinaï, et je suis retourné à ma base originelle, celle de Julis, pas loin d’Ashkelon.

C’est à cette date que le commandant de Julis prend sur lui la réparation des chars des trois fronts: au nord, sur le Golan, dans une base à côté de Kunetra (aujourd’hui rendue aux Syriens), au centre, dans une base dans la vallée du Jourdain, et au sud dans une base au Sinaï.

Notre base de Julis devient une vedette grâce au travail intensif fait par nos soldats, et aussi grâce à la haute précision de ce travail. Nous voilà de plus en plus connus et admirés au cœur de Tsahal, et surtout, dans le corps des blindés, et dans les écoles secondaires techniques.

En 1969, on me demande de signer mon premier contrat en tant que soldat de carrière. J’accepte, et en Mars 1969, j’épouse Gila et nous devenons les heureux parents de notre fille Anat. Je continue mon travail, je monte les grades, je passe 3 mois au Golan, 3 mois au Sinaï, et je reviens à Julis.

Me voilà alors Inspecteur des travaux des soldats sur les tourelles : c’est un poste à haute responsabilité, car seuls mes amis et moi décidons si les chars sont prêts ou pas pour le combat. Notre slogan devient: Es-tu prêt a combattre dans le char que tu viens de réparer ? Si ce n’est pas toi, cela peut être ton père, ton frère, un membre de ta famille ou encore n’importe quel homme de 18 a 48 ans[1].

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Dans notre base nous avions de jeunes soldats et de jeunes soldates venus de tout le pays, Juifs originaires de tous les pays du monde, des druzes, des chrétiens, des musulmans, tous ayant terminé leurs études dans une école technique. Nous devenons des amis pour la vie!

En Juillet 1982, alors que je venais de recevoir mon grade d’adjudant, notre compagnie reçoit un groupe d’une quinzaine de volontaires venus des USA, accompagnés par un soldat de réserve : ils travaillent chez nous pendant un mois et repartent.

C’est alors qu’un jeudi matin, mon commandant me convoque dans son bureau. Me voilà au garde à vous au seuil de sa porte, je salue et reçois la permission de rentrer. Je m’assois. Mon commandant me demande alors: Dis-moi, Allouche, tu parles Français ?

Etonné par cette question, j’acquiesce.

Mon commandant poursuit et me dit : Et ton Anglais, il est bon ?

Encore plus étonné, je confirme. C’est alors que mon commandant ajoute : C’est juste pour savoir… Davidi va venir te voir Dimanche matin à 8 heures.

Pour comprendre ma stupéfaction, il vous faut savoir qui est Davidi. On me confirme qu’il s’agit bien d’Aharon Davidi, le fameux commandant des parachutistes. Le héros de la légendaire unité 101, sous les ordres d’Arik Sharon. Le héros des opérations de représailles contre les fedayin.

Je me souviens avoir bégayé d’émotion et avoir demandé ce que le Général Aharon Davidi pouvait bien avoir à faire avec moi. Apparemment, mon commandant n’en savait guère davantage mais il me dit : Je n’en sais rien! Sois prêt à ton bureau Dimanche à 8 heures : on dit que tu peux mettre ta montre à l’heure grâce à la ponctualité de Davidi.

Bien sûr la nouvelle fit le tour de la compagnie Aleph. Le dimanche matin, tout le monde fait comme si tout était normal, mais nous sommes tous très excités : Davidi va venir parler avec Allouche…

A 8 heures précises, 3 coups à la porte du bureau et Aharon Davidi rentre, habillé comme n’importe quel civil. Alors que nous nous mettons tous au garde à vous, lui nous regarde, étonné, et alors que mon chef lui dit : Mon Général, vous êtes le bienvenu au bureau des Inspecteurs des travaux de la Compagnie Aleph, Davidi répond en souriant: Merci, mais j’ai pris ma retraite depuis longtemps. Il n’y a aucune raison de vous lever en ma présence : vous faites beaucoup plus que moi dans votre travail. Vous avez une très grande responsabilité. Je suis juste ici pour discuter avec l’adjudant Michael Allouche. Puis-je m’asseoir?

Ce jour-là nous comprîmes que la ponctualité n’était pas la seule qualité de Davidi : c’était aussi un des hommes les plus humbles qui soit. Il vous parle comme si vous étiez la personne la plus importante du monde, il vous répond comme si lui n’était qu’un simple soldat, mais il a le ton d’un général. Comment il fait cela ? Je n’en ai aucune idée. Ce que je sais, c’est qu’à dater de ce jour, j’ai travaillé avec Davidi, dont je fus très proche, et cela dura pendant plus de 33 ans.

Davidi ce jour-là me dit simplement : continue ton travail normalement. J’ai quelques questions à te poser.

Alors que je commençais en l’appelant Mon Général, Davidi répliqua : Ecoute. On va décider qu’à partir de maintenant tu m’appelles Davidi et je t’appelle Allouche, ok?

J’ai obtempéré et lui ai demandé : Davidi, mon travail consiste à grimper sur la tourelle pour vérifier le travail du soldat… As-tu besoin dune échelle pour grimper avec moi?

Davidi sourit et rétorqua : Allouche, je crois que j’ai grimpé sur des chars avant que tu n’apprennes à marcher…

Nous voilà sur le char, j’ai commencé à travailler, et lui commença à me questionner en Français puis en Anglais… Sur mon travail, mon service, ma famille, mes parents, mes études primaires et secondaires, mes passe-temps. Je lui dis que j’aimais peindre, dessiner, lire La Bible pour mon plaisir, que j’adorais les romans policiers, d’espionnage et d’anticipation, jouer aux échecs, que mon beau-père, mes beaux- frères et moi passions presque tous nos Shabbat à faire des tournois d’échecs.

Davidi proposa alors une partie d’échecs, en précisant : On peut jouer tout en discutant. Inutile de retourner au bureau.

Comme je lui répondis que j’avais de voir les pions et tout ce qui va avec, Davidi répliqua : Alors tu n’es pas un vrai joueur d’échec. Tu es encore jeune…

 Tout! Il voulait tout savoir! Cela nous a pris à peu près 2 heures. A la fin, il me dit: Allouche, tu a passé l’examen. Tu es madrickh de volontaires!

Je demandai en quoi ça consistait et Davidi eut cette réponse géniale : Je ne sais pas… Tu es le premier.

S’ensuit un dialogue étonnant :

– Qui va m’apprendre le travail?

– Tu vas apprendre seul, sur le terrain. Tu es le premier. Maintenant allons voir le Colonel de ta base, pour lui annoncer la bonne nouvelle.

4 mois plus tard, je recevais mon premier groupe de 32 hommes et femmes venus des USA. Aujourd’hui, nous recevons à peu près 4000 volontaires par an, venant de 40 pays différents. La France et les USA envoient près de 1000 volontaires par an. Cela montre que les Juifs Français sons très chauds pour aider Israël et surtout Tsahal. En été, Juillet et Aout, nous n’avons que des jeunes de 17 à 25 ans. Pendant les autres mois, ce sont surtout des personnes de 50 ans et plus. Au début du programme nous recevions 8000 volontaires par an. C’est la raison pour laquelle le Général Davidi a reçu le prix spécial du Directeur Général de la Knesset, pendant la Première Guerre du Golf, quand Israël fut bombardé par les missiles de Sadam Hussein. A cette époque, les seuls touristes en Israël étaient les volontaires de Sar-El, qui faisaient alors un mois de volontariat. Certains ne voulurent pas retourner chez eux, et sont restés jusqu’à la fin de la guerre.

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Après l’arrivée du premier groupe venu des USA, j’ai reçu mon premier groupe Français au mois de Mars. A l’époque, les volontaires venaient pour un mois. Ce n’était pas facile du tout pour eux : quitter son pays, sa famille, sa maison pour venir faire du volontariat pendant 30 jours, dormir à 4 dans une chambre avec le minimum militaire ( 4 lits de fer, matelas en mousse, 2 petites armoires – une pour deux, une table et 2 chaises, 2 couvertures, 2 draps, 2 paires d’uniformes de travail, toilettes communes, tout ça n’est vraiment pas facile, surtout lorsqu’on a l’habitude de vivre dans une grande ville, en France ou aux USA.

A leur arrivée à l’aéroport, c’est moi en personne qui les accueillais. Sur la route, dans le bus, je leur faisais un premier topo sur la base, les moyens de vie, le travail à faire. Je leur décrivais au fur et à mesure les villes et villages traversés.

Arrivés, les volontaires montaient leurs valises au 3 ème étage du bâtiment. Je distribuais les chambres, ils avaient une 1/2 heure pour se préparer avant la réunion du groupe. Là, je leur donnais encore des renseignements sur la base, les 2 villes proches, les ordres de sécurité, les règles du port de l’uniforme, les règles de sécurité au travail, les heures des repas, (il faut aller au réfectoire même si on n’a pas faim pour que je sache que tous sont bien là), et je répondais aux questions.

Le lendemain, distribution des postes de travail. Chaque jour il y avait corvée de cuisine (4 volontaires) et corvée de douches et latrines (1 volontaire chez les hommes et une chez les femmes), tous devant y participer, même ceux qui avaient plus de 65 ans.

La première semaine, les volontaires travaillent du dimanche au vendredi, et à partir de la deuxième semaine ils ont droit, le mardi, à une journée d’excursion. Le dernier jour, dîner avec les officiers de la base, le Colonel et les adjudants des postes de travail. Remerciements des deux côtés, on boit à la santé de Tsahal et de l’Etat d’Israel et on dîne. Le lendemain retour à l’aéroport. Là je les quitte et j’attends mon nouveau groupe. Pour le week-end (shabbat), à l’époque Sar-El avait créé une banque de familles Israéliennes qui invitaient les volontaires. Certains étaient invités par des soldats, d’autres par des officiers. Si un jeune soldat voulait inviter une jeune volontaire, il devait m’apporter une lettre de sa mère, qui signait être responsable de la jeune fille. C’est aussi comme ça que se sont faits beaucoup de mariages.

Plus tard les volontaires ont demandé que le volontariat soit plus court. 4 semaines, c’était trop dur. Aujourd’hui, on a des programmes de 1, 2, et 3 semaines. Je me rappelle qu’au début, les volontaires avaient le droit de porter l’uniforme pour aller en excursion ; les gens ne savaient alors pas qui ils étaient, mais quand ils l’apprenaient, de très nombreux Israéliens invitaient des volontaires à passer le Shabbat chez eux.

C’est comme ça que j’ai continué à travailler. Mon Colonel prit la décision de me donner le titre de Responsable des volontaires et je quittai alors le travail sur les chars, me consacrant uniquement à ma nouvelle charge. Aujourd’hui, beaucoup de soldats de réserve deviennent Madrichk après avoir reçu une formation donnée par le commandant de l’unité de Sar-El et moi-même. Plus tard, on a même recruté de jeunes soldates : j’étais hostile à cette idée, pensant à l’époque qu’une jeune fille ne pouvait pas faire ce travail comme un homme ; le commandant de Sar-El, le Lieutenant Colonel Moshe Renitz, m’a dit: Allouche il y a des soldates instructrices de pilotes, de chars, de parachutistes et autres : il y aura des soldates à Sar-El et c’est toi qui vas leur apprendre le métier.

Et c’est comme ça qu’aujourd’hui la grande majorité des Madrichkim sont en fait des jeunes Madrichkot. Beaucoup parmi elles sont des soldates qui ont fait leur Alyah après avoir participé au programme comme volontaires. Elles parlent au moins 2 langues étrangères en plus de l’Hébreu. Ferventes supporters du pays, elles apprennent à le connaître encore mieux grâce à leur service militaire. Elles sont envoyées dans tout le pays, du nord au sud, de la mer Méditerranée au Jourdain, dans toutes les bases où il y a du travail et où les conditions permettent aux volontaires de vivre pour 2 ou 3 semaines.

Ah, j’allais oublier: quand j’emmenais mes volontaires à Yerushalaym, on allait toujours à Yad VaShem, au Kotel, dans la vieille ville, le quartier Juif et autres endroits. A Yad VaShem, à la sortie de la chambre des enfants assassinés par les Nazis, je leur disais invariablement: pour montrer aux ennemis d’Israël que la vie du peuple Juif continuera, ceux parmi vous qui avez décidé de faire 1 enfant, faites-en 2! Ceux qui en vouliez 2, faites-en un troisième. Et ceux qui croient avoir fini, essayez encore une fois! Abraham et Sarah ont réussi, il n’y a pas de raisons que vous ne réussissiez pas aussi! Montrons que pour notre peuple la VIE est plus importante que tout! C’est comme ça que des couples ont décidé de faire un enfant à la mémoire d’un enfant assassiné par les Nazis. Ils l’ont parfois prénommé Michael.

A cette époque des débuts de Sar-El, j’ai marié 55 couples de soldats-volontaires. Une dizaine a divorcé, mais les autres sont toujours ensemble. 3 garçons nés de ces mariages ont été appelés Michael en souvenir de moi ».

En résumé, le sens de ce Volontariat est d’offrir aux Juifs de la Diaspora et à d’autres sympathisants la possibilité d’apporter leur pierre à l’édifice pour la continuité d’Israël, de créer un champ d’échanges et de rencontres entre Juifs de la Diaspora et Israéliens, d’offrir l’opportunité de connaître la réalité israélienne par une expérience hors du commun.

Les points forts consistent en un apport économique à Israël, les volontaires effectuant des tâches qui seraient effectuées, en leur absence, par des réservistes israéliens (Chaque Israélien est mobilisé une fois par an pour une période de réserve de trois à six semaines). La présence des volontaires contribue donc à réduire la mobilisation de réservistes et ainsi faire économiser environ 1600€ à l’Etat par engagement de trois semaines. D’autre part ces réservistes pourront continuer leur travail dans le civil et rester auprès de leur famille. A prendre encore en compte : le réconfort moral offert aux soldats : la présence des volontaires dans les bases apporte du baume au cœur des soldats qui effectuent leur service militaire (trois ans pour les garçons et deux ans pour les filles) ainsi qu’aux réservistes.

C’est aussi une reconnaissance concrète de la part des volontaires envers l’engagement des soldats pour la protection d’Israël et son peuple. Enfin, il s’agit là d’une expérience personnelle enrichissante grâce la participation à la vie de la base, au partage des mêmes conditions de vie que les soldats, ce qui génère des moments exceptionnels de fraternité et d’émotion. Cette expérience hors du commun permet de connaître de l’intérieur Israël et la réalité israélienne, ce qu’on ne pourrait percevoir en qualité de touriste.

A noter : au sein de Tsahal, s’engagent également des non-juifs, qui par leur choix prouvent que le dévouement et le désir de défendre l’Etat d’Israël ne relèvent pas d’une question de religion. René Elhozayel, aide-soignant suisse et bédouin, en fut un parfait exemple en s’ engageant volontairement dans l’armée israélienne, comme le furent les frères Milad et Muhammad Atrash, arabes musulmans qui se portèrent eux aussi volontaires, venant enrichir tant d’autres histoires qui font l’Histoire de Tsahal et d’Israël.

Sachez que Tsahal propose 5 différents programmes de volontariat :

  1. Sar’el
  2. Marva
  3. Mahal
  4. Garin Tsabar
  5. Le Programme « Atouda »

Voici le lien qui vous donnera toutes les informations :

https://www.facebook.com/volontariat.civil.en.israel.officiel

Pour vous inscrire ►► http://www.sar-el.org/

Sarah Cattan

[1] L’âge de fin du service milouim- réserve.

 

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