Le voile dévoilé. David Duquesne

Un scandale au voile par carnage djihâdiste

Systématiquement après chaque carnage djihâdiste, nous sommes confrontés à un scandale avec le voile, une contre attaque idéologique pour remettre la oumma dans le camp de la victimisation et culpabiliser la société française et mettre en bonne position les avocats dhimmis de l’islamisme et procureurs patentés en Vychinski chassant l’islamophobe à offrir en pâture aux justiciers de l’islam.


Il y a toujours des caméras ou des téléphones pour filmer l’incident ou un appareil pour enregistrer. La stratégie est bien rodée et a pour objectif de contrebalancer le choc des carnages par une forme de palestinisme émotionnel en mettant en scène des femmes voilées, et mieux encore si possible, des enfants pour solliciter notre humanisme judéo-chrétien et notre mauvaise conscience antiraciste travaillée par une propagande victimaire post coloniale depuis plus de 30 ans.

Solliciter l’inconscient collectif musulman


Le but est de solliciter l’inconscient collectif musulman avec les musulmanes agressées sur un marché par des juifs après l’exil de Mahomet à Médine.

Peu de temps après l’expulsion de Mahomet, celui-ci organisera l’attaque de caravanes marchandes, l’une de ces attaques, qui faillit être déjouée, se terminera par la bataille de Badr et alimentera un climat de tension paroxystique entre juifs et musulmans.


Peu après cette bataille, un incident mettra le feu aux poudres. Une ou plusieurs musulmanes sont molestées au marché par des juifs de la tribu des Banu-Kainuka. Échauffourée, meurtres de part et d’autre. Le chef de la tribu mise en cause refuse de payer l’amende réglementaire aux parents des victimes musulmanes. La tribu est assiégée par le Prophète et ses disciples et, au bout de deux semaines, contrainte de leur livrer ses immenses biens et d’émigrer.


Voici comment Mahomet et ses compagnons ont réagi suite à cette altercation entre musulmanes et juifs au marché de Médine avec le récit de ce massacre dans la vie de Mahomet (Sirah) de Ibn Ishaq:”Puis on les fit descendre. L’Envoyé de Dieu les a enfermés dans le quartier de Bint al-Hârith à al-Madînah ; Bint al-Hârith est une femme de Banû al-Najjar. Puis l’Envoyé d’Allâh alla au marché d’al-Madînah qui est encore aujourd’hui son marché, et a fait creuser des fossés. Il les fit venir, et les fit décapiter dans ces fossés, on les fit venir à lui par groupes. Parmi eux se trouvèrent l’ennemi de Dieu Huyayy Ibn ‘Akhtab, et Ka’b b. ‘Asad leur chef. Ils étaient au nombre de six cents, ou de sept cents ; celui qui multiplie leur nombre dit qu’ils étaient entre huit cents et neuf cents. Pendant qu’on les amenait à l’Envoyé d’Allâh par groupes, ils dirent à Ka’b b. Asad : « Ô Ka’b ! Qu’est-ce qu’on fera de nous ? ». Il répondit : « Est-ce que vous êtes incapables de réfléchir ? Ne voyez-vous pas que le crieur ne cesse pas de crier, et que celui d’entre nous qu’on envoie ne retourne pas ? C’est bien sûr le massacre. » Cela continua jusqu’à ce que l’Envoyé d’Allâh en finît avec eux.” Les femmes et les enfants furent réduits à l’esclavage. Pour se rendre compte de la manière dont ils différenciaient un enfant (à asservir) d’un homme (à tuer), le hadith d’Abu Dawood 38.4390 explique :(Raconté par Atiyyah al-Qurazi) : “J’étais parmi les captifs de Banu Qurayzah. Ils (les Disciples) nous ont examinés, et ceux dont les poils (pubiens) avaient commencé à pousser furent tués, et ceux qui n’en avaient pas ne furent pas tués. J’étais parmi ceux dont les poils n’avaient pas poussé.”
Les propriétés de la tribu furent prises en butin. Ibn Ishaq écrit:”Puis l’Envoyé de Dieu fit le partage des biens des Banû Qurayzah, de leurs femmes et de leurs enfants entre les musulmans. En ce jour, il indiqua les parts pour les cavaliers et les parts pour ceux qui combattirent à pied. Il en déduit le cinquième. Donc, le cavalier avait trois parts : deux pour le cheval et une pour son cavalier ; le combattant à pied, c’est-à-dire celui qui n’avait pas un cheval, avait une seule part. Les chevaux dans la bataille contre Banû Qurayzah étaient au nombre de 36. Ce fut le premier butin où on fit le partage en parts, et où on déduit le cinquième. C’est d’après cette règle et ce qu’a fait l’Envoyé d’Allah que se faisait désormais le partage du butin dans les campagnes.”


Les femmes et les enfants furent répartis parmi les musulmans. Selon une « coutume » de l’époque, cautionnée par le verset 4.24 du Coran, les prisonnières pouvaient devenir des esclaves sexuelles. Mahomet prit également sa part.                                                                                  

Ibn Ishaq écrit :”L’Apôtre choisit une des femmes pour lui-même, Rayhana bint Amir ibn Khunafa, une des femmes des Banu Amir ibn Qurayza, et elle resta avec lui jusqu’à ce qu’elle meure, sous sa domination. “
Les exemples d’instrumentalisation de la victimisation voilée sont légions, c’est le burquini à quelques mètres du carnage de Nice en juillet 2016, le piège tendu au restaurateur du Cénacle à Tremblay, c’est la femme voilée qui provoque une dispute avec une femme médecin et l’enregistre en juin 2015.

Femmes voilées, activistes de l’islam politique


Toutes ces femmes voilées sont des activistes de l’islam politique et ont deux objectifs:

Généraliser le voile dans la sphère publique mais aussi dans les écoles, les universités, les instituts de formation en soins infirmiers, dans les piscines municipales, dans les crèches et autres lieux de travail.

Mais aussi de créer un story telling victimaire sur une France anti musulmane qui persécute les femmes voilées, en utilisant le mot « maman » pour encore plus apitoyer.

Leur objectif…

L’objectif est de mettre sur le même plan médiatique, « l’humiliation » d’une femme avec le carnage de la semaine ou du mois précédent en sachant l’impossibilité de montrer les corps suppliciés. Dans ce combat médiatique inégal c’est la « maman » outragée qui l’emportera. Et c’est encore mieux si un enfant peut servir de caution émotionnelle dans ce jeu politique sordide.Cette dynamique repose sur un trépied activiste fort efficace ; provocation – victimisation – intimidation.
Il faut la victimisation pour cautionner et expliquer la violence éventuelle après coup.Ce qui explique l’isolement de ceux qui osent s’opposer à des femmes voilées après chaque attentat.Ces personnes courageuses ou inconscientes et souvent très maladroites dans leurs façons de faire, ont en tête une réalité que peu osent affirmer, les djihâdistes tuent partout dans le monde pour avant tout prendre le contrôle des femmes et toutes les recouvrir d’un voile.Ces femmes activistes ne peuvent pas ne pas le savoir.

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

7 Comments

  1. Seriez-vous pour une interdiction totale du voile dans la sphère publique?

    Si oui souhaiteriez vous que cela soit le cas pour tous les signes extérieurs de confession?

  2. Rappelons que le Coran condamne les signes ostentatoires, et qu’en Europe il n’existe rien de plus ostentatoire que le voile. En conséquence, et cela a été démontré par des spécialistes du coran, le port du voile en Europe est conyraire à l’esprit du Coran. Le plus souvent il s’agit surtout d’un signe de repli identitaire plus ou moins radical.

  3. Je suis pour l’interdiction de tous les signes religieux puisque cela serait descriminatoire de continuer à autoriser la kippa si on interdit le voile. De toute façon n’est il pas dangereux aujourd’hui de se promener avec kippa? On nous a même préconisé la casquette pour éviter les problèmes avec certains.

    • Myriam… Je suis à Miami hier c’était Sabbath… Les juifs se rendaient à la synagogue avec kippa les lonbavichs en famille… Les jeunes en voitures portant la kippa le tout dans un esprit de fête…
      Impensable en France ou le simple fait d’être juif signifie une condamnation à mort de fait et pas seulement des musulmans… L’antisémitisme en France et en Europe est de plus en plus fort et va de pair avec celui des musulmans.. Les deux font la pair… faudrat il tout quitter pour pouvoir respirer….

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*