Par Louise Gaggini
Grâce à sa persévérance, son intelligence et cette empathie hors du commun qui lui permet de concrétiser des deals impossibles aux autres, un accord vient d’être signé entre Israël et le Hamas.
Dès son investiture en janvier 2025, D.Trump a remis le mot « paix » au centre du monde, faisant renaître l’espoir et la fin des conflits.
Et depuis il n’a cessé, jour après jour, de parler, sévir, revenir, gronder, bref d’être ce machiavel nécessaire à la diplomatie, pour enfin parvenir à un accord entre Israël et le Hamas, et une paix retrouvée pour l’ensemble du Moyen-Orient.
Un tour de force évidemment, quand on sait combien la gauche dite progressiste, particulièrement en France et en Europe, l’a moqué, le faisant passer pour fou, dénonçant des pratiques illicites, tenant contre lui des propos de vindicatifs jaloux, irrationnels toujours.
Mais je l’ai écrit hier, les géants vivent leur vie de géant, oublieux des nains qui plus bas, s’emploient à les mordre et les déchiqueter.
Trump a réussi ce que personne depuis 77 ans en Palestine n’est parvenu à concrétiser, cela malgré le massacre du 7 octobre et des douleurs et colères des uns et des autres.
Il est parvenu à parler de paix et à l’imposer dans l’indescriptible chaos où s’épanouissaient les ambiguïtés, les menteurs et les va-t-en-guerre en tout genre.
Envers et contre tous ses détracteurs, il a déployé le mot « paix » comme un étendard sur le monde, un talith identique à celui sous lequel à Kippour nous nous retrouvons, regroupés et unis, protégés parce qu’enfants d’Israël.
Ce matin, quatrième jour de Souccot, j’ai ouvert la porte de la maison, la tête emplie de mots, bouleversée par l’idée de la paix retrouvée, des otages rendus et des cris de joie.
Le ciel, embué d’un soleil paresseux, souriait.
Irréfutablement et largement il souriait !
Mais depuis quand le soleil sait faire autre chose que réchauffer les vieux os, blondir les cheveux des petits enfants et mûrir les raisins dans les treilles ?
Je me suis avancée sur la prairie devant la maison, j’ai regardé les montagnes plus loin et les champs tranquilles, et à l’abri sous le talith des cieux, j’ai souri au soleil et à ce divin qui parfois nous rappelle qu’il existe, reconnaissante aux géants qui nous sauvent de la médiocrité des nains, et à Trump le magnifique pour ce qu’il vient de restaurer, voire de créer sur une terre ensanglantée : la paix.
Je ne sais pas si Trump a fait appel au divin pour ramener les otages et la paix, tout est possible avec les géants, cf. les dieux des Olympes, mais qu’importe, nous lui devons beaucoup.
Le monde lui doit beaucoup.
Et le prix Nobel de la paix lui revient incontestablement.
© Louise Gaggini
J’aime beaucoup Monsieur Trump que je soutiens depuis 2015.
1
Juste une question comme cela : « Qui en Israël a voté pour Trump ? »
2
« … un accord vient d’être signé entre Israël et le Hamas. … »
Définition du mot illusion :
1. Interprétation fausse de ce que l’on perçoit.
Être victime d’une illusion.
2. Apparence dépourvue de réalité.
Ce petit jardin donnait une illusion de fraîcheur.