
Les Palestiniens arabes refusent la reconnaissance et la création de leur État s’il n’est assorti de la disparition immédiate et intégrale de leur voisin israélien! Ils s’y sont résignés à coup de milliards de dollars américains reçus des USA depuis les accords de paix avec Israël qu’ils violent allègrement depuis. À elle seule, leur position constitue un double vice de fond et de forme, connu de tous.
L’ Etat « reconnu » ne dispose pas de l’ensemble des attributs y nécessaires. Il contrevient publiquement et statutairement aux dispositions de l’ONU prohibant le règlement des conflits par voie militaire. Il ne respecte presqu’aucun des droits humains relatifs aux minorités de tous ordres. Il est une dictature sanglante à Gaza et carcérale à Ramallah.
Le mode opératoire de ces ennemis et adversaires d’Israël est poly-forme: inversion la norme de Droit, criminalisation de la victime (Israël), falsification des faits, déculpabilisation de l’agresseur (autorité palestinienne, hamas, etc.), occultation tant que faire se peut des otages martyrisés à Gaza par le hamas, dont il convient de rappeler qu’il est le premier de cette farandole de haine à féliciter régulièrement le président Macron. Ce n’est pas nouveau. Dans les années trente, la SDN, antécédent de l’ONU, pratiquait déjà de même avec l’assentiment des puissance de l’époque (France, UK, etc.) contre des États agressés (Éthiopie, etc.) et en faveur d’ États agresseurs (Italie, etc.)
Les mots, les phrases, les discours, les justifications sans fin d’ Exécutifs en piteux états, démunis de majorité populaire, nient les faits, la géopolitique, le Droit-International-Public (notamment l’article 51 de la Charte de l’ONU relatif à la légitime défense) et les principes de relations internationales. Ils inventent un Droit inexistant, toujours à charge de la victime (Israël) et à la faveur de l’agresseur-oppresseur (autorité palestinienne, hamas et consorts).
Les poncifs millénaires sur les Juifs (barbarie, tueries d’enfants, etc.), proférées par le président Macron & autres en toute indignité, sans vérification ou sans en tenir compte, les diffamations (génocide, apartheid, etc.), déjectées par d’autres, la date choisie du nouvel an hébraïque pour « reconnaître » leur jouet, les arguties juridiques inventées au mépris du peuple israélien & de son droit de vivre: tout y est! Et tout y est au nom d’un colonialisme occidental dont Israël n’a que faire.
L’initiative diplomatique du président Macron conduit à la jonction stratégique de démocraties occidentales aux indépendances altérées par la finance djihadistes avec des régimes autocratiques, sanguinaires et antisémites.
L’ensemble des institutions de l’ONU & les Exécutifs responsables de cette absurdité diplomatique confondent volontairement et par violation légale « reconnaissance » et « création définitive » d’un État.
Chaque juriste, chaque diplomate, chaque chef de gouvernement ou d’Etat à commencer par Macron, connaît la valeur nauséabonde, impertinente & indécente de telle démarche en regard du Droit des relations internationales et de la liberté des peuples.
Intervenant après les massacres de civils du 7 octobre 2023, et alors que les otages sont toujours retenus, la « reconnaissance » d’un régime palestinien fondé sur des organisations criminelles et contre l’Humanité d’une part et sur la dictature palestinienne assoiffée publiquement de la haine et du « sang des Juifs » (déclarations) d’autre part, a été saluée chaleureusement par les criminels du hamas, du Liban, de l’Iran et autres qui la considèrent comme la récompense à la terreur et aux massacres de Juifs en Israël et ailleurs.
La « reconnaissance » d’une dictature criminelle, belliciste et terroriste est un encouragement à la haine et à la guerre contre Israël. Elle a pour conséquence une augmentation nouvelle des violences sur les personnes juives dans le Monde et précisément en France.
Macron et ses suiveurs portent un responsabilité historique et écrasante sur le sort de leurs concitoyens de confession juive, devenus des cibles civiles dont les droits élémentaires diminuent d’année en année, avec une pointe correspondant à cette « reconnaissance ».
L’initiative de Macron arrache la France et autres au socle respectueux du Droit pour l’arrimer à celui des « États voyous ».
Sur le plan des relations avec Israël, la mise en scène du 23 septembre 2025 à l’ONU engage des conséquences. La puissance technologique israélienne, militaire et commerciale permet à Jerusalem de réagir au titre de son incontournabilité internationale. Ces conséquences seront plus dures pour les États entraînés par Macron que pour Jerusalem.
Pour autant, et bien que spectaculaires, les difficultés et l’isolement que souhaitent imposer Macron et consorts à Israël sont d’ordre conjoncturel. Elles ne sont en aucun cas d’ordre structurel. L’impact négatif sur l’État hébreu ne dépasse pas le niveau d’hostilité injuste, inique et abjecte, auquel il est habitué depuis qu’il existe!
Tout le reste n’est que circonlocutions inutiles et sans vergogne.
© Pierre Saba
25 septembre 2025

La décision de Macron de reconnaître un « État palestinien » n’est pas seulement une faute politique, diplomatique et juridique : c’est avant tout le fruit d’une idéologie méta-morale qui déforme la réalité.
Certes, on peut dénoncer la violation du droit international, puisqu’un tel État n’existe pas et ne remplit aucun des critères de la Convention de Montevideo, l’effet concret de légitimer le Hamas, organisation terroriste antisémite qui proclame ouvertement vouloir exterminer Israël et le coup porté à la diplomatie française, qui se discrédite en se mettant au service d’une fiction idéologique.
Ce que vous décrivez est la conséquence d’une idéologique.
Il faut comprendre ce qui rend cette décision « logique » pour Macron : il hérite d’une tradition intellectuelle (Esprit, Ricœur, la gauche chrétienne et progressiste) qui croit que le dialogue universel transcende les faits.
Dans cette vision, il n’y a pas de mal radical, seulement des malentendus.
Le rôle de l’homme politique éclairé serait donc de reconnaître l’autre même lorsqu’il se définit par la haine.
Macron ne se voit pas en cynique ou en lâche, mais en « médiateur supérieur » qui, en reconnaissant l’ennemi, croit poser l’acte fondateur de la paix.
Or, c’est là que se loge la prétention : Les grands maîtres de la Torah et de la tradition juive savent que le mal existe et qu’il ne se dissout pas dans le dialogue. Mais la philosophie ricœurienne, reprise par Macron, nie cette limite et se croit capable de « dépasser » la sagesse millénaire.
Ce faisant, elle masque son impuissance sous les habits de la sagesse et finit par engendrer l’injustice qu’elle prétend combattre.
La reconnaissance d’un pseudo-État palestinien n’est donc pas un accident ou une maladresse : elle est la conséquence directe d’une idéologie qui confond médiation morale et solution réelle.
Je n’aurais jamais cru dire cela il y a encore quelques années, mais aujourd’hui j’ai honte d’être français. Si j’avais 20 ans de moins, je quitterais ce pays, je quitterais l’Europe de l’Ouest et renoncer à ma nationalité ne me poserait aucun problème : la France est morte.
Je soutiens à 100% Israël et lui souhaite la victoire et la prospérité que ce magnifique pays et son peuple méritent.
Macron ami du Hamas et vrp du Qatar financier du terrorisme et du djihâd mondialisé, quelle honte !
Honte à macron !.