
Waouh, quelle photo !
Marco Rubio, Benyamin Netanyahu et l’Ambassadeur des Etats-Unis en Israël, au Mur occidental, à Jérusalem !
Ah, les journalistes français et le Quai d’Orsay… ces pleureuses professionnelles qui sortent leurs mouchoirs dès qu’un drapeau israélien flotte au vent.
À les écouter, voir Marco Rubio, Netanyahu et l’ambassadeur américain au Mur occidental, c’est pire qu’une éclipse de soleil.
Ils crient au scandale, mais ne voient aucun problème quand Macron va s’agenouiller devant Doha ou Alger.
Le Quai d’Orsay, c’est l’école de l’indignation sélective : allergique aux kippas, tolérant avec les keffiehs.
Pour eux, le Mur occidental n’est pas un site juif millénaire, mais une annexe de leur salle de rédaction.
Chaque photo de Netanyahu à Jérusalem, c’est pour eux une gifle personnelle.
Ils préfèrent un Hamas « résistant » qu’un Israël souverain.
Ils écrivent leurs communiqués avec des larmes et des kleenex, en mode « poésie diplomatique ».
Ils se disent défenseurs du droit international, mais n’ont rien dit quand la Jordanie a profané la Judée-Samarie.
Ils jouent aux historiens mais confondent Philistins et Palestiniens inventés.
Ils hurlent « provocation » quand Rubio prie au Mur, mais applaudissent quand l’imam du Qatar récite son catéchisme à l’ONU.
Dans leurs colonnes, Israël est toujours coupable, même quand il respire.
Le Quai, lui, fait semblant d’être neutre, mais ses câbles diplomatiques sont parfumés au gaz qatari.
Ils adorent donner des leçons, mais n’ont jamais gagné une seule guerre.
Ils se prennent pour des gardiens de la morale, mais ne sont que des scribes à la solde des pétrodollars.
Leur cauchemar : voir Washington et Jérusalem main dans la main.
Leur fantasme : remplacer le Mur occidental par une mosquée sponsorisée par l’Arabie saoudite.
Quand ils parlent de paix, c’est pour dire « Israël, tais-toi et tends l’autre joue ».
Quand ils parlent de justice, c’est pour blanchir les terroristes et salir les victimes.
Bref : journalistes français et Quai d’Orsay, les pleurnicheurs attitrés de la diplomatie mondiale.
© Jean Vercors

Sur Tribune Juive précédent du 6 septembre, sur un texte de Jean Vercors, j’ai répondu à Monsieur Guy Haddad
( Tune de l’ARIANA ) qui justement posait la question sur Jean Vercors ne sachant s’il était le père ou le fils, je lui ai répondu:
» Il est, dans un ancien document intitulé » LES CAHIERS DU SUD » ( en ma possession ) un texte signé Vercors sans que le prénom soit indiqué; ce texte porte en titre » LA SEDITION HUMAINE ET LA PENSEE JUDAÏQUE » est-ce celui qui est décédé en 1991 ?
J’aimerai bien le savoir
En tous cas j’aime beaucoup ses textes incisifs et ironiques dont celui-ci sur le Quai d’Orsay, antre de crapules pourries et de vermines…
J’apprécie beaucoup les articles de MR Vercors , son humour décapant , il vise bien et juste