Inauguration 21 septembre à 17H
32 boulevard Vital Bouhot à Neuilly-sur-Seine
Communiqué

J’ai l’honneur et le plaisir de vous annoncer que le Centre français du judaïsme tunisien (CFJT), aux termes d’une période de plus de deux ans de recherches et de difficultés pour poursuivre ses activités, a enfin trouvé un local.
Sur l’aimable suggestion de Monsieur Philippe Besnainou, administrateur du Consistoire de Paris et Président de la communauté consistoriale de Neuilly qui soutient officiellement notre projet, nous avons repris l’hôtel particulier occupé précédemment par sa communauté, au 32 bd Vital Bouhot à Neuilly-sur- Seine.
Nous y développerons la «Maison de la Culture et du Patrimoine des Juifs de Tunisie » associant à la fois des espaces cultuels et culturels : notre projet phare, la « bibliothèque du judaïsme tunisien », mais aussi des offices, des cours axés sur l’étude des textes religieux, des cours sur l’histoire des juifs de Tunisie, des cours d’apprentissage de l’hébreu biblique pour les enfants, des conférences, des expositions, etc…
Nous aurons la joie de poser la mezzouza le dimanche 21 septembre à 17H00 (accueil à 16h45) sous la présidence effective de Monsieur le Grand Rabbin Michel Gugenheim, Grand-Rabbin de Paris, en présence des responsables des autres communautés de Neuilly et de différentes personnalité.
Le verre de l’amitié sera ensuite servi à l’issue de cette inauguration, et le Rav Yossef Obadia formé à la Yeshiva Kissé Rahamim donnera à 18h30 une conférence sur le thème : « A la découverte de l’étude selon la méthodologie traditionnelle séfarade, communément appelée en Tunisie : l’Yioun Tounsi ».
© Jean-Marcel Nataf, Président

C est surrealiste ! Certains imaginent encore qu investir des ressources juives dans ce pays a un sens ?
Le judaisme tunisien vit et prospere a Natanya , a Ashdod , a Jerusalem , je croise chaque jour un peu plus de juifs d origine tunisienne dans ma ville de Hadera .
Stop !
Reveillez vous !
Venez ouvrir la maison de la culture juive tunisienne ici 🇮🇱
L’auteur de cet article, et son père, font de la Tunisie juive leur fond de commerce. Ils étaient très peu, ou pas du tout, dans la Tunisie juive. Un monde aujourd’hui disparu que les auteurs n’ont pas connu.