
Selon Aurore Berger, Caroline Yadan et Patrick Klugman, il conviendrait d’assimiler « l’abus de qualification de génocide » au délit de contestation de crime contre l’humanité – et ce au nom des « victimes de la Shoah ».
Ce qui signifie que la défense d’Israël serait rattachée non pas à des arguments rationnels liés aux nécessités de sa vie nationale, de sa défense, de son territoire etc., mais à la politique mémorielle dont s’abriteraient les juifs. Donnant ainsi l’idée que ce sont des victimes éternelles qui demandent une protection à ceux-la même qui ont détruit la vie juive en Europe et frappent à présent sur Israël au nom d’intérêts géopolitiques bien compris.
Protégez moi de mes amis – mes ennemis je m’en occupe.
© Nathanaël Majster

La différence entre Macronistes et Mélenchonistes est (lorsqu’elle existe) aussi mince que la feuille de papier de la 🚬 que je suis en train d’allumer. Et de même que ma marlboro se transformera d’ici peu en un mégot écrasé, le pouvoir politique français ne laissera derrière lui qu’un goût de cendre et finira dans les poubelles de l’Histoire (le plus tôt sera le mieux).