Accuser Benjamin Netanyahu de crimes de guerre et chercher à le faire poursuivre par des mandats internationaux est une mascarade scandaleuse qui révèle la corruption et l’hypocrisie du droit international. Ces accusations ne reposent sur rien d’autre qu’un agenda politique vicieux visant non seulement à salir un dirigeant mais aussi à délégitimer l’État d’Israël et son droit fondamental à exister et à se défendre.
Le droit international a démontré à de nombreuses reprises son incapacité à agir de manière juste et équitable. Par exemple le génocide rwandais en 1994, où les Nations unies et les grandes puissances se sont contentées de regarder pendant que plus de 800 000 personnes étaient massacrées en seulement 100 jours. Aucun mandat sérieux n’a été émis contre les responsables majeurs pendant des années et la communauté internationale a fermé les yeux sur ses propres manquements.
En Syrie où le régime de Bachar alAssad a utilisé des armes chimiques contre sa propre population, les institutions internationales ont produit des rapports et des condamnations verbales sans jamais agir de manière décisive. Les crimes contre l’humanité continuent à être commis dans une impunité presque totale alors même que des millions de civils ont été tués, déplacés ou torturés.
Et pourtant face à ces tragédies massives et incontestables, le droit international s’acharne sur Israël, une démocratie qui lutte pour sa survie dans un contexte de terrorisme constant. Il accuse Netanyahu de crimes de guerre alors que les opérations militaires israéliennes sont menées avec des précautions extrêmes pour minimiser les pertes civiles, ce qui contraste radicalement avec les méthodes brutales de nombreux autres États. Pendant ce temps, le Hamas qui tire délibérément des roquettes sur des populations civiles israéliennes et utilise sa propre population comme bouclier humain, échappe à toute responsabilité.
Ces mandats contre Netanyahu ne sont pas des actes de justice, mais des actes de vengeance politique et de pure haine idéologique. Ils s’appuient sur des rapports biaisés souvent écrits par des organisations financées par des intérêts anti-israéliens et sur une interprétation dévoyée du droit international. Il est inacceptable qu’un Premier ministre qui défend son peuple contre des attaques terroristes constantes soit traité comme un criminel alors que ceux qui envoient des roquettes sur des civils israéliens ou qui exploitent des enfants comme boucliers humains restent impunis et protégés par ce même système.
Ce scandale illustre une fois de plus les échecs répétés du droit international qui s’est transformé en une farce moraliste et politisée. Ces accusations contre Netanyahu sont une attaque contre Israël, contre la vérité et contre les principes mêmes de justice. Elles doivent être dénoncées avec la plus grande fermeté pour ce qu’elles sont : une tentative honteuse de criminaliser un État et son peuple, sous le prétexte mensonger de la justice internationale »
© Sarah Ben
Golda Meir disait: notre seule défense c’est Israel car nous n’avons d’autre endroit ou aller.
Des millions de pages ont été écrites à ce sujet alors qu’une simple phrase suffit à expliquer (ce qui ne veut pas dire du tout excuser) comme disait ma grand-mère, et avant elle, la sienne : « »Ils ne nous aiment pas » » ce qui était plutôt gentil.
Je dirai que depuis deux mille ans, ils ont la haine des Juifs, à laquelle se rajoute depuis 1300 ans, celle de l’islam.
En lisant le livre de Aaron Sitbon : La culture du mensonge » l’auteur déconstruit et décrypte deux mille ans d’histoire et plus, en remontant depuis la mythologie grecque, celle qui a déclenché toutes les autres mythologies (chrétienne et islamique)
Haine de l’islam ? Ne confondez pas avec détestation des islamistes,des fondalentalistes qui utilisent leur religion à des fin expansionistes, à la soumission des États, des peuples, à leurs lois, qui haïssent notre laïcité. Rien à voir avec ceux qui sont de religion hébraïque, qui n’ont jamais fait et ne font de prosélytisme
Lire : » l’éducation à l’esprit critique «
Auteur svp ?
Corruption et hypocrisie du droit international … Pas seulement ! Le droit européen et les droits nationaux sont largement dévoyés. Ceux qui sont en charge de leur application semblent s’être dépêchés d’oublier quelle est la finalité sociale et politique du Droit (au sens noble de gestion de la Cité) pour se précipiter dans l’action politicienne, sans autre discernement que la ligne rouge de l’État de Droit, qui n’est pas la ligne bleue des Vosges …
Ce concept flou est une invention allemande du 19ème siècle reprise la « Grundgesetz » et la Cour de Karlsruhe après la 2nde Guerre Mondiale pour éviter que, par des élections démocratiques arrive au pouvoir un dictateur, sans que les institutions puissent s’y opposer. De même, les « valeurs de la République », c’est quoi ? Hormis la devise « Liberté Égalité Fraternité » je n’en connais pas, étant entendu que chacun des termes de cette devise ne peut exister sans les deux autres.
Le « Machin » et ses multiples agences au service d’une idéologie supramondialiste woke, a fait tâche dans tous les domaines du droit et de la « justice ». L’honneur de la politique est de tenir les institutions en équilibre au profit de TOUS les citoyens. Les clivages scolaires, culturels, religieux, judiciaires, sociaux sont néfastes en profondeur dans la sphère publique, surtout à une époque où l’éducation à l’esprit critique a disparu.
Vient se greffer dans les failles des sociétés occidentales la « Oumma » dont si peu ont le courage et/ou la clairvoyance de nommer et d’endiguer.
La France peut, encore peut-être, redevenir la nation du sursaut et du réveil salutaire. Nous devons tous y travailler avec ardeur et passion en coupant les rets qui entravent notre souveraineté. L’intérêt de tous est le respect de chacun. Pour ce faire, il faut commencer par se débarrasser d’une doxa laxative des cerveaux et revenir aux fondements historiques et culturels sur lesquels s’est établie notre société. Le jeune État d’Israël fournit, à cet égard, un exemple de fidélité à l’esprit de ses fondateurs, sans qu’il soit nécessaire de soutenir aveuglément tel de ses gouvernements.
La lucidité est la fille de la Lumière, et sans lumière, adieu la vie !