Ce qu’ils n’aiment pas chez nous

Ce qu’ils n’aiment pas chez nous, c’est que nous construisons, évoluons, étudions, chantons et dansons. 

Leur état d’esprit consiste à critiquer ce que nous produisons au lieu de produire, à détruire au lieu de construire, à exprimer leur haine au lieu de chanter et danser…

Si nous avions travaillé main dans la main, nous aurions tous gagné. Nous vous encourageons à étudier, travailler, rester positif, chercher toujours des solutions plutôt que des problèmes. Le véritable problème réside en vous, mais la solution aussi est en vous.

À vous de décider si vous voulez continuer à mener une vie misérable ou évoluer. 

Bonne année 2024 à ceux qui aiment la paix. 

Voici une photo illustrant ce qu’Israël a réalisé à partir d’un désert en peu de temps. (Tel Aviv)

© “Une voix juive”

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3 Comments

  1. Cette photo représente ce que beaucoup de pays rêvent de faire, bâtir Israel sur ce qui n’était que caillasse et désert. Force, courage, ambition manquent à des pays dans le monde qui sont jaloux et la jalousie engendre la détestation. Chantons et dansons sans eux !

    • @Danielka, je suis tout à fait d’accord avec vous. Quant à moi force et admiration pour Israël. Vous avez construit un grand pays, n’écoutez pas les donneurs de leçons.

  2. “Voici une photo illustrant ce qu’Israël a réalisé à partir d’un désert en peu de temps. (Tel Aviv)²”
    Pour mémoire, ce miracle de travail et de détermination est évoqué dans une très belle chanson d’Adamo, datant des années soixante et qui n’a pas eu l’heur de plaire aux pays arabes. Ils l’ont interdite et sauf erreur je crois qu’elle l’est toujours dans ces pays. A vérifier. Adamo a pourtant modifié certaines paroles pour ne heurter personne. Elle est toujours d’actualité aussi..
    Je cite un extrait d’article du Point à propos de cette première version.
    «Deux passages, en particulier, font bondir les tenants de la cause palestinienne : “Dieu de l’enfer ou Dieu du ciel/Toi qui te trouves où bon te semble/Sur cette terre d’Israël/Il y a des enfants qui tremblent”, chante Adamo dans la version initiale. Puis, dans le dernier couplet :
    “Requiem pour six millions d’âmes/Qui n’ont pas leur mausolée de marbre /Et qui malgré le sable infâme/Ont fait pousser six millions d’arbres.

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