Simon Moos. Israël vu par “Le Monde” : décoder l’information

“Une structure habilement construite, des omissions grossières, des mots et des témoignages sélectifs, il en faut peu pour égarer le public et donner une image trompeuse d’une société”.

Dans cette analyse, Simon Moos décrypte comment des médias grand-public comme Le Monde s’emploient à mettre Israël au banc des accusés.

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

7 Comments

  1. “Le monde” est devenu au fil des années un journal puant et qui cache sa puanteur en s’aspergeant de parfum, ce qui finit par rendre l’odeur plus insupportable encore. C’est un journal anti-israélien pour ne pas dire plus ; et je partage pleinement l’analyse de Simon Moos. Je me souviens que du temps de Khmers rouges “Le Monde” trouvait les moyens dialectiques de les défendre (les Khmers étant rouges – autrement dit de gauche).

  2. Pas que le monde mais aussi les autres journaux régionaux font de même sans parler des médiats que le citoyen paye de ses impôts comme France Inter France Info et des médiats libres. Ils se sont tous liés contre Israël. Les universités ne sont pas mieux en france. Merci pour cette vidéo et bon travail de d’informations historiques.

  3. Le Monde a des relations étroites avec des journalistes turcs. Le journal publie régulièrement des articles de journalistes turcs, et il a organisé plusieurs événements avec des journalistes turcs. Le Monde est également un membre fondateur de l’Association des Éditeurs de Journaux Européens (AEJE), qui comprend des journaux turcs tels que Hürriyet et Sabah. Le Monde souffre du syndrome de Stockholm qu’on pourrait appeler le syndrome d’Istanbul où beaucoup de journalistes ont leur rond de serviette. Dans une émission de Calvi, Christine Okrent disait aller 7-8 fo

  4. Le Monde a des relations étroites avec des journalistes turcs. Le journal publie régulièrement des articles de journalistes turcs, et il a organisé plusieurs événements avec des journalistes turcs. Le Monde est membre fondateur de l’Association des Éditeurs de Journaux Européens (AEJE), qui comprend des journaux turcs tels que Hürriyet et Sabah. Le Monde souffre du syndrome de Stockholm qu’on pourrait appeler le syndrome d’Istanbul où beaucoup de journalistes ont leur rond de serviette. Dans une émission de Calvi, Christine Okrent disait aller 7-8 fois par an à Itanbul. Ce qui veut dire, quand on décrypte, qu’elle est invitée par les Turcs pour faire des ménages bien rémunérés par eux.

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*