Le recteur de la GMP participe au Colloque des Frères Musulmans

Après la ligue islamique en Arabie Saoudite, aujourd’hui avec  MF_Musulmans de France, ex UOIF, ce sont les “potes” du Recteur Chems Hafiz, ce sont ses fréquentations, ce sont les amis de celui qui n’a de cesse de nous répéter … qu’il lutte “contre l’islamisme”…

Ça fait un long temps que TJ suit cette amitié un brin discutable.

Ça fait un long temps que TJ, avec d’autres, tel Thibault de Montbrial, regarde ce flirt poussé amenant l’avocat à écrire: “Stupéfaction de voir le recteur @chemshafiz visiter l’un des piliers de l’entrisme des Frères Musulmans en Europe en compagnie du président de «Musulmans de France», nouveau nom de l’UOIF. Très décevant et inquiétant double discours du recteur de la Grande Mosquée”. 20/11/2021

Ça fait un long temps que TJ regarde, stupéfait, la forte amitié qui lie le Recteur avec notre Haïm Korsia, vous savez: le GRDF: “Le cauchemar des Juifs de France : le GRF Korsia sous le charme hypnotique de l’UOIF” 21/11/2021

Eh bien Puisque tout le monde regarde ailleurs et qu’apparemment ceux qui regardent laissent faire, pourquoi se cacher? C’est Hafiz en personne qui l’annonce sur Twitter: Il en est, du 12ème Colloque annuel à La Courneuve.

Rares sont ceux qui s’en émeuvent.

Parmi eux, Florence Bergeaud-Blacker, auteur de “Le frérisme et ses réseaux”, paru chez Odile Jacob en 2023, écrit: “Les Frères ne sont pas de grand théologiens mais d’excellents stratèges, ils invitent et sous-traitent certaines de leurs activités à leurs concurrents, leurs alliés provisoires, religieux et universitaires”

Allons: il ne nous reste plus qu’à espérer que le GRDF ne sera pas convié comme il le fut lors de la création du Conseil national  des imams, décidée en mode putchiste par les cadres dirigeants de l’UOIF, le Recteur Hafiz et ses imams.  

Quel grand malheur et quelle extravagante hypocrisie générale.


Pour info:

Qu’est-ce que l’Union des organisations islamiques de France ?

“L’Union des organisations islamiques de France (UOIF) – qui prendra le nom de « Musulmans de France » à la rentrée 2017 – a été créée en 1983 par un groupe d’étudiants, pour la plupart venus des pays du Maghreb et membres de la confrérie des Frères musulmans. Ils avaient deux objectifs : « promouvoir la compréhension de l’islam à travers des responsables religieux formés et des lieux de culte dignes ; et unir les acteurs associatifs communautaires ».

L’UOIF revendique aujourd’hui 1 600 membres adhérents à titre personnel, ainsi que 285 associations adhérentes, gérant pour la plupart des mosquées. Elle travaille également avec une trentaine d’associations « partenaires » dont elle a participé à la création : Étudiants musulmans de France, Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens… Enfin, elle a comme « compagnons de route » quelques personnalités fameuses comme les frères Tariq et Hani Ramadan, petit-fils de Hassan el-Banna, fondateur de la confrérie des Frères musulmans en 1928 en Égypte”. La Croix 4/5/2017

Ou encore:

Amar Lasfar, président de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), a officiellement présenté samedi au Bourget le nouveau nom de son organisation qui cherche à redorer son image et s’appellera désormais “Musulmans de France”.

“A partir de maintenant, nous n’utiliserons plus UOIF, mais Musulmans de France”, a dit Amar Lasfar à la tribune de la 34e Rencontre annuelle des musulmans de France (RAMF), qui se tient jusqu’à lundi au parc des expositions du Bourget (Seine-Saint-Denis)”. Le Point. 15/4/2017


Pourquoi il est temps de s’informer:

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Ce livre présente le mouvement islamiste issu de l’internationalisation du mouvement des Frères musulmans, tel qu’il s’est développé en Europe : Florence Bergeaud-Blackler le nomme frérisme. Elle explore ici, de façon factuelle et documentée, l’origine du mouvement, son fondement doctrinal, son organisation et ses modes opératoires, ainsi que ses méthodes de recrutement et d’endoctrinement. Elle montre comment il étend son emprise au cœur même des sociétés européennes en s’appuyant sur leurs institutions, en subvertissant les valeurs des droits de l’homme ou en « islamisant » la connaissance.
Ni réquisitoire ni dénonciation complotiste ou militante, c’est le résultat d’une enquête de fond étayée et référencée, menée selon les méthodes des sciences humaines, et qui cerne précisément un objet, l’islamisme frériste, qui construit un système-islam décliné dans trois directions : une vision, une identité, un plan. Le propos ne vise ni une religion ni une communauté de croyants, mais décrit un mouvement qui cherche à se servir d’eux pour imposer une stratégie d’islamisation des pays non musulmans dans toutes sortes de domaines, de l’économie à l’écologie, de l’école à l’université.


Un document de référence, qui éclaire un phénomène souvent mal cerné. Un livre précieux pour sa mesure et sa lucidité, qui nourrit le débat de faits plutôt que d’anathèmes idéologiques.

Sarah Cattan

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