Sarah Halimi: merci Alexandre Arcady, qui jamais ne se défausse (I)

A quelques heures de la fête de Pessah.

A une poignée de jours du quatrième “anniversaire” de la mort par défenestration de Sarah Halimi

A 20 jours exactement du “verdict”. Ce jour où la Cour de Cassation, au nom de dix Magistrats, viendra corriger une justice défaillante en amenant l’assassin à un procès aux Assises

Ce temps majuscule où il sera dit que Sarah a été assassinée parce qu’elle était juive et uniquement pour “ça”

Où il sera dit que mort lui a été donnée par un être qui est allé “au bout” de son projet, empruntant le seul itinéraire possible pour pénétrer dans l’appartement de sa voisine juive, la sortant de son lit, la fracassant, la lynchant, avant de la jeter encore vivante par la fenêtre

Où dix magistrats auront eu le courage de “défaire” la pleutre décision qui disait aboli le discernement du barbare,

Aujourd’hui donc, alors qu’arrive entre vos mains – tel un petit miracle- le film du Grand Arcady, Celui qui s’est mouillé pour rappeler la mort d’Ilan Halimi,

Alors qu’il est annoncé comme date officielle de sortie le 17 avril

TJ décide de vous donner à voir la terrifiante “Affaire” Sarah Halimi

Trop l’ignorent encore

Trop ignorent comment en France fut instruite l’affaire

Trop ne savent pas qu’il n’y eut ni reconstitution, ni requalification en “assassinat”

Trop ne savent pas comment des témoins, après avoir déposé au commissariat, furent éberlués de ne pas avoir été entendus

L’Affaire Sarah Halimi? Il y aura un “Avant” et un “Après” pour Nous, Français Juifs, pour Nous, Français épris de justice.

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1 Comment

  1. En tant qu’ancien responsable du “Service de lutte contre la toxicomanie” à la DDASS de Paris (Direction des affaires Sanitaires et Sociales), l’argument ayant permis à la Justice de dédouaner l’assassin de Sarah Halimi parce qu’il était toxicomane est un non-sens.
    Au contraire, la posture toxicomaniaque de l’assassin devait aggraver son inculpation, puisque la loi interdit explicitement l’usage des drogues.
    En effet, et malheureusement, bien des jeunes, à l’époque, sont passés par la prison “pour usage illicite de stupéfiants”.

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