Charles Meyer. “Pas d’accord avec Raphaël Enthoven”

Coucou Raphaël Enthoven. Un jour, tu nous expliqueras qu’il est quand même normal que les constructeurs automobiles et les sociétés privées qui exploitent l’ A6 co-écrivent ensemble le Code de la route.

Ce jour là, tu pourras dire à l’automobiliste réfractaire qu’il n’a pas respecté les clauses du contrat et que par conséquent, il peut toujours aller se faire foutre, en allant exercer sa liberté d’aller et venir ailleurs.

Par exemple, en allant chercher du travail à 60 kilomètres. A pied. (A condition, soyons réalistes, Raphaël, que son vendeur de godasses n’ait pas glissé subrepticement entre la semelle et l’étiquette quelque vilaine clause lui interdisant de marcher du pied droit dans la merde).

© Charles Meyer

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4 Comments

  1. Merci !
    Quelle tristesse de constater que ce philosophe légitime la dictature des Gafa! Quelle dégringolade morale au nom du Suprematisme Intellectuel de la Gauche Bien-pensante !

  2. Pourquoi Twitter ne censure pas l’ayatollah Khamenei aux déclarer génocidaires récurrentes «Notre position contre Israël est la même que nous avons toujours adoptée. Israël est une tumeur cancéreuse maligne qui doit être enlevée et éradiquée. C’est possible et cela arrivera.».
    Mr Einthoven ??

  3. La qualité de « philosophe » que certains, dont Enthoven, s’arrogent, ne répond à aucun cahier de charges. En conséquence n’importe qui, dont Enthoven, peut l’usurper. Lui ne s’en prive pas.

    Il justifie le bannissement de Trump par la plateforme Twitter arguant de la piètre opinion qu’il a, lui Enthoven, de Trump. Opinion partagée apparemment par Twitter et bien d’autres (moi aussi d’ailleurs).

    MAIS un philosophe devrait savoir qu’il est hors sujet. Si le positionnement idéologique et/ou politique de Trump peut justifier aujourd‘hui son bannissement par Twitter (et apparemment par Facebook et j’en passe), demain c’est Enthoven qui serait banni car sa parole déplairait à Jack Dorsey, PDG de Twitter, ou à Zuckerberg de Facebook ou à Google ou à que sais-je.

    Enthoven se cache derrière des arguties judiciarisantes. Twitter, dit-il, est une entreprise privée qui a le droit (devoir ?) de se comporter selon sa règlementation interne.
    Or, cette règlementation, d’ailleurs floue à souhait, reflète forcément la vision du monde, l’idéologie, la mentalité et surtout LES INTERETS de ses propriétaires.

    Peut-on accepter ça s’agissant d’un organisme qui détient (avec des organismes « frères » sinon jumeaux du type GAFA cités dessus, liste non exhaustive…) un monopole planétaire sur l’expression d’opinions ?
    A partir de quelle taille, de quelle importance et de quelle puissance n’est-on plus « privés » et se doit-on de se soumettre au « public » ?

    Enthoven se ridiculise d’ailleurs en découpant des cheveux en quatre, disant que le compte « Trump » était celui d’une personne privée et non du Président des USA. Pour qui il nous prend ?

    Chemin faisant Enthoven cherche à éluder la GRANDE question : ne faut-il pas priver les GAFA, dont Twitter est cousin germain, de leur pouvoir monopolitique ?
    En les scindant en morceaux, par exemple ?

  4. J ai moi meme experimenté le tropisme ideologique de facebook , apres avoir ete menacé de mort par des interlocuteurs islamistes , ma reponse qui avait la faiblesse de les traiter de ” barbares me rapporta un blâme de facebook ,!!

    N acceptant pas a 63 ans de me faire ostraciser par des inconnus ou punir comme un gamin de 6 ans , j ai depuis fermé mon compte , mais je confirme :
    Enthoven est une bille et oui il faut reagir avant de devenir des esclaves aux ordres de je ne sait qui , basé je ne sais ou et nourrissant des objectifs que nous ne connaissons que trop bien

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