Michel Rosenzweig. Scène de sociopathologie de la vie quotidienne en Covidie

Bruxelles, capitale de l’Empire techno-sanitaire covidien, dimanche 3 janvier 2021, température 3 degrés, ciel gris et sombre, 14h.

Il emprunte la promenade verte, un parcours de plusieurs kilomètres aménagés sur une ancienne voie de chemin de fer urbain créée en 1881 et fermée en 1958.

Le chemin forestier est parcouru par de ravissantes passerelles récemment construites permettant de traverser plusieurs communes de l’agglomération bruxelloise.

Il fait froid et venteux mais la fréquentation est néanmoins importante car les prisonniers sanitaires belges se rabattent comme ils peuvent dans les lieux aérés. Certains obéissent à la nouvelle norme en vigueur le visage masqué et d’autres plus téméraires se risquent sans muselière.

Bien décidé à braver l’interdit, il marche et respire librement, croisant certains regards accusateurs et d’autres nettement plus fraternels et donc non masqués.
Son téléphone sonne, il prend l’appel et entame une conversation.

Au bout d’un moment il décide de faire une pause et apercevant un banc, il s’assied sur le bord du dossier, les pieds sur le siège, estimant ce revêtement trop humide en cette saison pour poser ses fesses dessus.
Alors qu’il était en pleine conversation avec une collègue se situant en Amérique latine et avec laquelle il comparait les contraintes sanitaires des deux pays, une dame masquée passa devant lui en le dévisageant d’un air clairement accusateur.

Poursuivant son échange téléphonique, il entendit la dame l’apostropher ? N’entendant pas ce qu’elle disait, ses oreilles étant couvertes par son casque, il l’enleva et entendit, l’air hébété : “Vos pieds sont sur le banc”.
“Et alors, qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?” lui dit-il, pensant en rester là.
“ça ne se fait pas, et en plus…vous n’avez pas votre masque…”

N’ayant pas mis fin à son échange téléphonique, sa correspondante entendant donc tout, il ne put néanmoins se résoudre à laisser partir cette pétasse sans lui demander de quel droit elle se permettait de lui adresser la parole sur ce ton et qui lui autorisait à faire la police ?

Ce qui me sidère le plus dans cet incident qui n’est ni le premier ni le dernier, c’est le culot et l’aplomb avec lequel ces individus s’autorisent à se comporter en policiers.

Rien d’étonnant en revanche car la fabrique du consentement au régime sanitaire est une réussite totale. La police n’a plus de surcharge puisque des millions de salopards trouillards décérébrés se sont docilement mués en flics, contrôleurs et délateurs, une armée d’auxiliaires de police sanitaire instaurée et encouragée par les autorités et la propagande médiatique.

Aujourd’hui, encore une fois et bien malgré moi, je suis dans une sainte colère légitime et j’en veux énormément à tous ceux qui adhèrent, contribuent et collaborent à ce régime de terreur sanitaire.
Ceux qui l’ont mis en place sont des délinquants et des criminels sociopolitiques pervers.
Mais ceux qui approuvent et qui se livrent à ce genre de comportement sont encore pire, car rien ne les y oblige.

J’ai toujours essayé de garder une certaine mesure dans mes propos et j’ai même eu de l’indulgence et l’empathie pour les personnes apeurées qui participent à ce bal masqué sanitaire.

Mais pas pour les capos et autres chiens de garde, ceux-là je les méprise profondément et je les emmerde encore plus profondément et je ne les laisserai jamais proférer leurs remarques désobligeantes en me taisant. Qu’ils dégagent de mon espace vital déjà assez réduit…
Je rêve d’un kudeta anti sanitaire, qu’on les arrête tous et toutes, politiques, magistrats, policiers, journalistes, virologues, médecins, tous ces collabos et ces responsables de ce régime de merde qui n’en finit pas, qu’on les juge et qu’on les envoie en exil loin dans un endroit où ils ne pourront plus jamais nous nuire.

Je les maudis tous et toutes, toutes et tous, celles et ceux, comme on voudra, et “jusqu’à la dernière génération de vos races “comme hurlait dans sa malédiction, Jacques de Molay, grand maître du temple, condamné par Philippe le Bel et exécuté  en mars 1314 sur un bûcher dressé sur l’île aux Juifs à Paris.
L’île aux juifs, ça ne s’invente pas…

Et le premier ou la première qui vient me faire chier sur mon mur, je l’éparpille façon puzzle aux quatre coins de ce médiocre pays et je le bloque fissa pour l’éternité.

© Michel Rosenzweig.

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